Mon initiation dans la sororité

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il y a 5 ans

Mon mari a suggéré que je vous décrive l'expérience que j'ai vécue à mon entrée en université privée. Mon nom est Kimberly ou Kim comme on m'appelle souvent. J'étais étudiante à l'Université Midwest où j'étais membre d'une grande sororité et mon bizutage pour entrer dans cette sororité a changé ma vie pour toujours. Non seulement j'ai rencontré mon époux durant l'initiation, mais j'ai aussi découvert que j'étais extrêmement excitée quand je me retrouvais dans des situations humiliantes. Particulièrement quand il est question de couches-culottes et de se faire pipi dessus.

Les sororités et fraternités sur mon campus n'étaient plus autorisées à pratiquer des séances de bizutages qui pouvaient blesser les candidates. J'ai d'abord pensé que cette règle anti-bizutage était une super idée, mais ce que je ne savais pas était que les associations « grecs » (appelé ainsi, car les associations de fraternités et sororités étudiantes utilisent trois lettres de grec ancien comme nom) pratiquaient encore des rites d'initiation. Les pires épreuves arrivaient dans ce qui était appelé : « La semaine infernale. » Tant que personne ne se faisait blesser, l'université autorisait les sororités et fraternités à faire à leur bizute ce que bon leur semble.

Après plusieurs fêtes de présentation des sororités, je décidais de candidater à la plus populaire du campus. Leur maison collective était magnifique, les filles très extraverties et jolies, et il semblait que toutes les fraternités adoraient particulièrement cette sororité. Je soumettais une offre pour les rejoindre et attendis anxieusement la première réunion pour rencontrer les autres candidates et les membres actuels.

Les choses se déroulèrent un peu près comme je m'y attendais. Les filles étaient vraiment gentilles, les verres circulaient librement, eh oui, il y avait plein de gars de la fraternité frère. (Cette fraternité était officieusement liée à notre sororité pour de nombreuses activités.) J'étais satisfaite d'avoir pris cette décision et j'attendais impatiemment que passe le mois de bizutage pour devenir membre.

Le jour suivant, on demanda à toutes les candidates d'assister à une réunion à la sororité pour en apprendre plus sur l'association et le processus pour en devenir membre. Les sœurs « sympa » commencèrent alors à afficher une tout autre attitude. Nous fûmes tout de suite prises de haut et il devient très clair que nous devrions traverser des épreuves assez dures avant de devenir membres. Nous devions traiter tous les membres actuels comme des reines. En d'autres termes, quoi qu'une sœur veuille, nous devions immédiatement accéder à sa demande. De plus, nous étions affectées à une « Maman » de la sororité, et un « Papa » de la fraternité frère qui « veilleraient sur nous » et nous « aideraient » à traverser le processus d'adhésion.

Au début les choses ne se passèrent pas trop mal. Nous devions nettoyer les pièces de la maison de la sororité, préparer les repas, et pendant les fêtes, servir les petits-fours et les verres. Toutefois, ma Maman de sororité, Janet, était très exigeante et elle était très fière de me faire travailler super dur pour lui faire plaisir. Le plus angoissant était que si un seul membre de la sororité faisait objection à notre candidature, nous ne pourrions pas adhérer à la sororité à la fin du mois. Inutile de dire que nous donnions à fond pour avoir l'approbation de chaque membre.

Ce fut aussi durant cette période que je rencontrais mon Papa de fraternité, Chris. Chris était vraiment beau gosse, attentionné, eh oui, plein d'assurance. Notre relation démarra presque immédiatement. Ce que je ne réalisais pas était que ma Maman de sororité et mon Papa de fraternité discutaient fréquemment de mes progrès et s'arrangeaient pour rendre mon expérience de bizute la plus pénible et humiliante possible. Mais dans l'ensemble, les choses se déroulaient plus ou moins comme je m'y attendais... du moins, jusqu'à ce que la « semaine infernale » commence. (La semaine infernale était la dernière étape avant de devenir membre.)

Au début de la semaine infernale, toutes les bizutes furent rassemblées ensemble pour discuter des activités de la semaine. On nous expliqua que nous perdions TOUS nos droits durant cette semaine et que nous serions soumises à de nombreuses expériences humiliantes. Nous devions abandonner nos droits dans un « Contrat d'accord. » Je crois qu'aucune de nous n'avait la moindre idée de qui nous attendait et l'on signa le document sans tarder. On nous dit alors que nos « Papas » et « Mamans » grecs allaient continuellement contrôler nos actes durant la semaine. Chaque jour nous devrions affronter des challenges de plus en plus nombreux que nous serions tenus de remporter ou nous ne serions pas intégrés à la sororité. La fin de la semaine serait conclue par une fête de fraternité/sororité, et ce n'est qu'à la fin de cette fête nous saurions si nous avions réussi à passer les tests pour devenir membre.

La première nuit commença de façon inoffensive. Les candidates étaient divisées en six groupes de trois filles. J'appréciais les deux autres filles de mon équipe, Heather et Amy. Nous resterions dans la même équipe toute la semaine ; on nous expliqua que l'équipe qui aurait le moins de points recevrait le traitement le plus dur. Le premier évènement semblait assez classique. Nous devions participer à une chasse au trésor, on donna à chaque équipe une liste d'objets à se procurer. L'équipe qui reviendrait la première recevrait le plus de points, mais toutes les équipes devaient compléter la liste avant d'être autorisées à revenir à la sororité.

La liste même pour une chasse au trésor était bizarre. Mais vu que c'était la semaine infernale, aucune de nous n'y porta une trop grande attention, nous étions surtout déterminées à être la première équipe à revenir à la sororité. Notre liste contenait les éléments suivants : un lot d'épingle à nourrice ; trois biberons ; trois chaînettes de 60 centimètres ; un rouleau de ruban adhésif ; un gros paquet de couches-culottes jetable ; trois courtes jupes à carreau adaptées à nos tailles ; un lot de mini-cadenas avec leurs clefs ; trois sacs à couches-culottes ; des pyjamas de nuit à nos tailles ; des marqueurs permanents et plusieurs autres objets saugrenus. Oui c'était une liste bizarre, et qui demanderait du temps pour être bouclée.

Il semblait évident qu'il fallait s'attendre à devoir porter les objets marqués sur la liste, mais aucune de nous ne parvenait à voir le lien entre certains des objets. Et pourquoi y avait-il autant d'objets pour bébé sur la liste? On partit tout d'abord dans une quincaillerie pour récupérer trois chaînettes et trouver les petits cadenas. La pharmacie avait une bonne partie des objets qui nous intéressait, dont les couches-culottes jetables. C'était le plus embarrassant à acheter. Je sentis mon cœur se mettre à battre à toute allure alors que je me présentais avec les couches devant le caissier. Il demanda : « Ces couches sont de grandes filles comme vous? » On rigola et on répondît « On sait jamais. » Ensuite, on alla au centre commercial, on trouva facilement les vêtements dont on avait besoin. On avait enfin fini notre liste, et on se dépêcha de revenir à la sororité pour découvrir que nous étions arrivées les toutes dernières.

En tout cas, toutes les équipes étaient revenues. On plaisantait toutes ensemble, en buvant des verres et en nous racontant la façon dont on s'était procuré tous les objets. La nuit finit assez abruptement quand la présidente de notre sororité, Nicole, débarqua et nous annonça que l'on ferait mieux de se mettre au lit, car les cours commençaient tôt demain. Elle continua en déclarant que l'on devrait avoir fini de se doucher dès sept heures et avoir mis nos mini-jupes à carreaux pour aller en cours. Je ne pouvais pas me sortir de la tête que demain allait être une journée de folie.

Avant de m'endormir, mon « Papa » de fraternité, Chris m'appela pour me souhaiter une bonne nuit et dit qu'il avait hâte de voir son « bébé » le lendemain. Je ne me rappelais pas qu'il ne m'ait jamais appelé « bébé » et j'étais un peu près certaine qu'il y avait un sous-entendu caché. Avant de m'assoupir, je me posais des questions sur les couches-culottes que l'on avait achetées...

J'avais eu une histoire un peu particulière avec des couches. Il y a plusieurs années, quand j'étais au lycée, je fis du baby-sitting ; lorsque les bébés furent couchés et que je me retrouvais seule, je sortis trois couches lavables. J'avais décidé de les déplier et de les rabattre sur moi pour voir l'effet que ça faisait. J'essayais même de mouiller les couches, mais, je trouvais impossible de me faire pipi dessus volontairement. Finalement, je versais deux verres d'eau chaude sur la surface des couches pour avoir l'impression de porter des couches humides. L'expérience me mit dans un état d'excitation imprévu. Je me sentais si souillonne de porter des couches trempées... C'était un peu compliqué de me promener dans la maison, mais avoir entre mes jambes des couches chaudes et humides, cela procurait une sensation incroyable. Je finis par m'étendre sur le sol, passant mes mains sous les couches trempées et je jouais avec moi-même jusqu'à exploser dans un climax fantastique. Je pensais que demain serait intéressant...

Je me réveillais, prenais une douche et revêtais de ma petite jupe à carreaux achetée la veille. On demanda aux bizutes de s'habiller comme de petites écolières et je fis de mon mieux pour m'y conformer. J'allais jusqu'à coiffer mes longs cheveux blonds en deux couettes pour correspondre parfaitement au rôle. Nous avions toutes dormi dans la sororité. Quand je descendis dans la grande salle, on nous demanda immédiatement de nous mettre en ligne pour inspection. L'on indiqua à plusieurs d'entre nous que nos jupes étaient trop longues, dont moi. Je n'arrivais pas à y croire, elle était si courte! On me donna une nouvelle jupe sur-le-champ et on me demanda de me changer face à toutes les bizutes. La jupe était riquiqui, mais je n'osais pas me plaindre. Quand nous fûmes toutes passées par l'inspection, on pensa se rendre dans nos salles de classe.

C'était embarrassant d'être habillées comme de petites écolières, mais des choses bien pires auraient pu arriver. Avant de rompre les rangs, Nicole, la présidente, nous demanda de retirer nos culottes et de les lui donner. On nous demanda de reformer nos équipes de la veille et se préparer à se mettre en couche-culotte. Il y eut beaucoup de questions, mais notre présidente nous réprimanda : « Fermez là et faites ce qu'on vous dit! » Les groupes se réunirent chacune dans une pièce et un des sac de couches jetables qu'on avait achetés fut amené. On nous chargea de bien vouloir mettre une couche sur nos partenaires d'équipe à tour de rôle. Si la couche-culotte était mal mise, ou pas assez serrée, on nous retirerait des points. (Et les points allaient avoir beaucoup d'importance.) C'était super gênant! Il y eut des ricanements et même quelques protestations de pure forme, mais au fond, nous voulions toutes rejoindre la sororité et l'on procéda à se placer les couches les unes sur les autres.

Ce n'était pas bien dur à faire, juste vraiment humiliant. Je ne m'étais jamais allongée nue en face d'une autre fille, et certainement pas pour me faire mettre une couche. Quand tout le monde eut fini, on intégra de nouveau la ligne d'inspection. La présidente de sororité passa devant chacune de nous, et inspecta chaque couche. Toutes les filles réussirent l'inspection sauf une fille. On demanda alors à la pauvre fille de retirer sa couche et une consœur se mit à lui infliger cinq grands coups sur les fesses avec une palette de la sororité. La fille fut alors ensuite rapidement mise en couche-culotte par une de ses coéquipières, et cette fois la couche fut fermée au plus serré.

La présidente Nicole, nous donna des instructions supplémentaires :

« Je sais ce que vous pensez... Dès que vous partirez en cours, vous espérez pouvoir retirer vos couches-culottes pour ne pas avoir à les porter en public. »

« Eh bien n'espérez rien de tel! »

« Apportez-moi les rubans adhésifs que les filles ont achetés hier. » Pendant que l'on attendait debout en ligne, on nous demanda à tour de rôle de relever nos jupes. Une des membres de la sororité plaçait alors un petit morceau de ruban sur la fermeture de la couche jetable.

« Vous êtes dorénavant dans l'incapacité de retirer vos couches sans que le plastique soit déchiré! »

« Si vous revenez à la maison sans votre couche sur vous, vous échouerez à l'initiation! »

« Des questions? »

Audiacement, je demandais « Que fait-on si on a besoin d'utiliser les toilettes? »

Nicole répondit :

« J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. »

« La mauvaise, c'est que vous portez votre toilette sur vous! »

« La bonne, c'est que vous pouvez revenir à la maison entre midi et une heure pour aller aux w.c., ou si c'est nécessaire -- pouvoir changer de couche! »

Nicole continua,

« Avant que vous vous dandiniez jusqu'à vos salles de classe, il me reste encore quelques instructions à vous donner. »

Chacune de nous reçut une bouteille d'un litre et on nous demanda de la boire la plus vite possible. À nouveau, on donna des points à l'équipe de trois filles qui finit sa bouteille en premier. Il était évident que les membres de la sororité souhaitaient que l'on parte à nos cours avec pensée inquiétante que nos vessies devraient attendre jusqu'à midi avant de pouvoir se soulager en sécurité. Amy, Heather et moi-même finîmes notre bouteille en premier. Ce qui allait rendre les choses encore plus difficiles, c'était qu'on nous avait offert plusieurs tasses de café avant qu'on nous mette en couche-culotte. Quoi qu'il en soit, et en ne parlant que pour moi, j'étais assez confiante pour me retenir jusqu'à midi, tout serait OK.

Nicole continuait avec ses ordres :

« Maintenant, vous avez une dernière chose à enfiler pour vos cours ce matin. »

« Nous avons acheté des culottes en plastiques pour bébé pour chacune de vous. » J'ignorais alors que des couches plastiques étaient conçues pour être portées par de « gros bébés. » (Je sais maintenant que mon Papa de fraternité/petit ami les avait commandées sur internet.) « Votre nom a été inscrit ainsi que les lettres grecques de notre sororité au dos de chaque culotte. Par exemple, Kim, ta culotte est marquée "Bébé Kimberly" suivi des lettres grecques. »

« Et n'ayez pas cet air choqué! »

« Vous verrez que ce matin, vous apprécierez ces culottes si l'une de vous a besoin d'un peu de protection supplémentaire. » Nicole fit circuler par l'intermédiaire d'une des sœurs nos culottes en plastique individualisées. On nous enjoint à les mettre par-dessus nos couches jetables. Je retirais mes chaussures et commença à monter la culotte en plastique le long de mes bas blancs d'écolière. Comme je continuais à la remonter sur mes jambes, je me sentais humiliée, mais je commençais aussi à être excitée. Je finis par recouvrir ma couche-culotte par la culotte en plastique et éprouvais une sensation de douceur autour de ma taille et de mes cuisses. Je pourrais seulement décrire cette impression comme de la sécurité, une sécurité étrangement érotique.

« Ok, vous devrez faire avec jusqu'à midi, » nous dit Nicole.

« Je suis sûr de ne pas avoir besoin de vous dire d'être de retour à midi, puisque vous portez toutes de quoi vous en souvenir. »

« À midi, on aura quelques surprises supplémentaires, mais je pense que vous avez déjà de quoi profiter de vos cours du matin. »

On était donc libre d'aller en cours, mais comment pouvions-nous nous montrer en public? Je demandais à mes coéquipières si elles pouvaient voir ce que je portais sous ma jupette. Elles me répondirent que ma jupe couvrait tout juste ma couche-culotte, mais qu'à moins que je penche on ne pouvait pas vraiment la deviner. Nous étions toutes dans la même situation embarrassante, et bien obligées de partir en cours, nous restions groupées espérant être ainsi plus en sécurité. Mais cela n'empêcha pas qu'en marchant jusqu'à nos salles de classe, habillées en jeunes écolières, tous les regards se tournaient vers nous. J'avais peur qu'à chacun de mes pas, le son du froissement de ma culotte en plastique contre ma couche-culotte puisse s'entendre.

Je ne m'attendais pas à ce que cette situation m'excite autant. Je pense que c'est le risque d'être prise sur le fait portant cet accoutrement grotesque et l'humiliation de ma tenue d'écolière qui me rendait aussi sexuellement survolter. Il faut dire que j'attendais depuis le lycée une occasion de retrouver l'excitation que j'avais éprouvée en me mettant des couches-culottes entre les jambes. Aujourd'hui encore, je me souviens très nettement de ce moment où pour la première fois, je marchais en public avec des couches-culottes étroitement pressées contre mes jambes. Marchant avec mes camarades, je ne pouvais arrêter de leur parler de notre situation. Une chose était sûre ; on allait devoir s'accrocher pour passer cette épreuve, car aucune de nous n'était une dégonflée et l'on voulait toutes devenir membres de la sororité.

J'arrivais au premier cours et m'asseyais sur un siège près du fond de la classe. Beaucoup de mes camarades me dévisageaient. Comme j'étais habillée en petite écolière, ça n'avait rien de surprenant. Et puis, les sororités et fraternités font toujours porter à leurs bizuts toute sorte de choses bizarres durant la semaine infernale, ce n'était pas si étrange que j'arrive en cours dans ce genre de tenue. C'était par contre la première fois que je m'assoyais avec une couche-culotte et ce n'était pas quelque chose que l'on pouvait oublier, j'avais la sensation d'être assise sur du rembourrage. Chris, mon Papa de fraternité suivait le même cours d'économie, quand il entra il s'installa comme il le faisait d'habitude, juste derrière moi.

« T'as l'air vraiment mignonne aujourd'hui. »

J'avais l'impression qu'il pouvait voir à travers ma jupe, peut-être était-il au courant de quelque chose sur ce qu'on portait pendant l'initiation? En tout cas, il n'en laissa rien paraître.

Je priais pour que le professeur ne m'appelle pas au tableau et mes prières furent exaucées. Comme le cours finissait, Chris offrit de m'escorter jusqu'à la prochaine salle de classe. Bien sûr, j'acceptais. Je trouvais quand même un peu bizarre qu'il choisisse ce jour précis pour m'accompagner alors que sa salle de classe était dans un autre bâtiment de l'université. Avait-il eu un aperçu du rembourrage sur ma croupe? J'étais sûr qu'il en savait plus qu'il ne disait... Quant j'arrivais devant ma salle de classe, Chris me tapota le derrière alors que m'apprêtais à entrer.

« À plus, bébé. » J'en crevais de honte. J'aimais Chris comme une folle, mais notre relation n'en était encore qu'à ses débuts, et j'étais terrifié à la pensée qu'il puisse me savoir en couche-culotte!

Je m'asseyais pour le deuxième cours, mes pensées tournées vers Chris. Quand tout d'un coup je sentis un besoin grandissant de faire pipi! Et il était que dix heures du matin, il y avait encore pas mal de temps à passer avant que je puisse rentrer à la sororité. J'essayais de me distraire en me concentrant sur d'autres choses qu'à la pression sur ma vessie. Ma compagne de bizutage, Amy, était dans la même classe et nous étions voisines de table. Nous nous regardâmes l'une l'autre sans rien dire ; nous savions toutes deux que nous commencions à être sur des charbons ardents, mais nous étions encore sèches! Je voyais bien qu'Amy n'arrêtait pas de se déhancher sur sa chaise. Il y avait quelque chose d'incroyablement excitant à la situation où nous nous trouvions.

D'un côté, j'avais peur de mourir d'humiliation si je mouillais ma couche, mais d'un autre côté j'étais sexuellement électrisée par les sensations que j'expérimentais. Je me sentais en sécurité en sachant que j'avais une protection sous ma jupe. (Encore aujourd'hui, je suis excitée quand je sors dehors et que je porte en secret une couche-culotte sous mes vêtements.) Amy me passa une note où était écrit : « J'ai laissé filer un petit jet dans ma couche... je me sens vraiment mieux! » J'étais médusée. Nous étions deux étudiantes matures qui se passaient des notes sur l'humidité de nos couches! Je lui répondis en écrivant que j'étais toujours au sec, mais sacrément en danger.

Le cours me sembla durer une éternité, mais il finit tout de même par s'achever. On se leva pour quitter la salle, et c'est à ce moment que ça me frappa ; se lever et marcher me donnait une envie de pisser comme je n'en avais jamais connu. Avec Amy, nous sommes restées ensemble l'une contre l'autre jusqu'à pouvoir quitter l'établissement et s'asseoir sur un banc. On discuta alors de ce que l'on allait faire. Notre objectif principal était d'éviter de tomber sur une de nos connaissances hors cadre de la sororité. Puis, je demandais à Amy ce qu'elle avait ressenti en mouillant sa couche, et si sa couche-culotte était vraiment humide. À ma surprise, Amy m'expliqua que de se laisser aller l'avait soulagée d'un tel poids qu'elle se sentait libérée.

Je lui demandais comment elle avait été capable de se faire pipi dessus volontairement. Là-dessus, elle me donna quelques conseils :« Tu t'affales contre le dossier du banc, et tu relaxes tes muscles. »

Je fis comme elle me le dit. J'essayais de ne laisser sortir qu'un tout petit peu de pipi, mais comme j'avais une envie très pressante, je sentis mes barrières exploser! Une fois commencé, je ne pouvais plus m'arrêter. Je restais les jambes légèrement écartées et mon dos collé au banc. Je sauçais ma couche sans aucun contrôle. Je m'inquiétais immédiatement qu'on le découvre, ou que ma couche-culotte ne puisse retenir tout mon pipi. C'était une sensation en même temps effrayante et formidable! Je ne m'étais jamais souillé volontairement, et même si j'avais eu des "accidents" comme toutes les gamines en grandissant, cela ne m'était jamais arrivé quand je portais une couche! Alors que la pisse continuait à couler, une sensation de chaude humidité sembla remplir toute la couche. J'étais submergé de soulagement et de fébrilité. La sensation était si intense que je n'étais pas loin d'avoir un orgasme. Amy me tint la main pour me soutenir pendant que j'ouvrais les vannes. Elle me dit « Ce n'était pas si désagréable, non? » Je ne pouvais pas lui cacher mes émotions et lui répondis que je me sentais comme sur un nuage.

Mais il restait un problème, ne pas se faire choper toute mouillée. Il était onze heures passées, on décida de marcher lentement jusqu'à la sororité. Amy affirmait qu'à chacun de ses pas, elle parvenait à relâcher un tout petit jet de pipi. On ne pouvait s'empêcher de rigoler à mesure que nos couches-culottes prenaient du poids, nous avions l'impression plus de nous dandiner que de marcher. L'on croisa un groupe de nos consœurs et des membres de la fraternité de Chris. Un des garçons nous dit : « Faites gaffe de ne pas vous mouiller, il risque de pleuvoir. » Et ils se mirent tous à ricaner. Il y avait un soleil brillant, son commentaire n'avait pour but que de nous taquiner et nous humilier. L'on arriva finalement devant la sororité. Il y avait une note sur la porte nous demandant d'attendre dehors jusqu'à ce que tous les "bébés" soient revenus.

Une par une, les bizutes revenaient à la maison. Lorsque notre camarade Heather se montra enfin, on lui posa la question que tout le monde posait :

« Alors, tu as réussi à rester sec ? » Heather murmura qu'elle avait mouillé sa couche, mais l'avait retirée dans les toilettes. Elle devait faire un exposé pour son cours de communication et ne pouvait prendre le risque d'être prise sur le fait. Elle avait pensé s'acheter une autre couche-culotte pour cacher le fait qu'elle avait retiré sa couche trempée... mais, finalement elle avait pensé qu'il valait mieux venir ici et expliquer les circonstances. Entre temps, toutes les bizutes/bébés étaient arrivées. Une des filles, Linda, semblait comme danser autour de nous, tentant de contrôler sa vessie, elle était la seule à être parvenu à rester sèche. On rigolait à la voir, ses mains serrées entre les jambes et effectuant de petits bonds.

Je ne sais pas comment l'idée circula, mais l'on se jeta toutes sur Linda pour la plaquer au sol. On n'allait pas lui laisser passer l'occasion d'avoir le plaisir de se retrouver dans une couche humide! L'on n'eut aucune pitié. Nous la tenions contre le sol, et on lui chatouillait les pieds, l'estomac, le cou. La bizute se roulait par terre prise de fou-rire. Tout d'un coup elle arrêta de se débattre, et on arrêta de la chatouiller. Devant nous toutes, ses mains toujours coincées entre ses jambes, Linda trempa sa couche. Elle n'arrêtait pas de hurler : « oh mon Dieu! Oh mon Dieu! » On avait l'impression qu'elle n'allait jamais arrêter de se pisser dessus! C'était vraiment cocasse à regarder et on riait gaiement de sa déconvenue. Du coup, on ne remarqua pas que la porte d'entrée s'était ouverte et nous fûmes assez surprises quand une voix sévère nous ordonna d'entrer et nous mettre en ligne!

« Vous vous souvenez des marqueurs que vous avez achetés? » nous dit Nicole.

« Cet après-midi chacune de vous recevra un de ces marqueurs. »

« Je vous demanderai de recueillir trois signatures provenant des membres de notre fraternité "frère". » Je me disais qu'accomplir cette tâche habillée en petite écolière serait assez gênant, mais enfin, ce n'était pas non plus si terrible. Comme j'avais tort! Notre présidente ajouta :

« Je veux que ces trois signatures soient faites sur le dos de vos couches jetables. »

« Vous éviteriez des embarras si vous obtenez ces signatures quand vous êtes encore sèches! »

On se mit alors à paniquer, mais on savait aussi ne pas avoir le choix. On nous demanda de s'allonger par terre, et chacune de nous eut droit à un changement de couche avant que l'on puisse remettre notre culotte plastique par-dessus. Cette fois, on nous scotcha un du ruban adhésif tout autour de notre couche, il n'y avait aucun moyen pour retirer notre couche-culotte et la remettre.

« Soyez de retour à quatre heures précises si vous comptez utiliser les toilettes avant de la fête de ce soir. »

« Ah, j'oubliais... avant de vous laisser partir, je tiens à ce que vous buviez une bonne grosse tasse de café et une bouteille d'eau. »

« Je reste pour m'assurer que ce soit bien fait! »

« Dépêchez-vous où vous serez en retard pour vos cours. »

La première chose que je fis après avoir bu mon café et ma bouteille d'eau fut d'appeler Chris pour lui demander son aide. J'y avais bien réfléchi, et il n'y avait pas moyen d'y couper, j'avais besoin de lui pour collecter les trois signatures. Je pensais que j'aurais un peu moins honte si lui et deux de ses amis de la fraternité signaient ma couche-culotte. Au téléphone, je ne le prévins pas des raisons qui me poussaient à vouloir le voir. Chris me dit de venir le retrouver à l'espace étudiant sur le campus. Il était déjà là quand j'arrivais. On s'installa dans un recoin du restaurant et, avant que je ne puisse lui dire que je n'avais pas soif, il commanda deux grandes boissons.

J'avais du mal à mettre le sujet sur la table... Comment dire à un garçon dont on est amoureuse que l'on porte une couche-culotte et que : « tiens, pendant que j'y pense, tu pourrais signer dessus avec deux amis de ta fraternité? » Chris n'arrêtait pas de me dire qu'il me trouvait ravissante et que je ne lui avais jamais paru aussi sexy. Avant que je ne parvienne à lui demander de l'aide, je sentis son pied me toucher sous la table. Il avait retiré ses chaussures et commençait à remonter le long de ma jambe. J'étais vraiment inquiétante qu'il ne découvre le pot au rose. Mon visage devait avoir tourné au cramoisi. Son pied montait de plus en plus haut, jusqu'à parvenir à mon entrecuisse couverte de la culotte en plastique.

« Qu'est-ce que je sens? » Il frottait ma culotte en plastique de son pied, ce qui me rendait toute humide, et pas à cause de ma vessie... Justement, un serveur arriva avec nos boissons, ce qui n'empêchait pas Chris de continuer de jouer avec moi sous la table. J'avais eu l'impression que nos relations s'approfondissaient par le passé, et là, je sentais qu'un moment crucial était en jeu. Chris brisa la glace en disant : « Alors tu as besoin de quelques signatures? » Il savait déjà ce que je voulais lui demander... que savait-il d'autre?

Nous sommes restés dans notre coin une bonne heure, partageant des choses que nous n'avions jamais dit à personne. Je me sentais tellement proche de lui... Au point que sans penser aux conséquences, je bus le grand soda qu'il m'avait commandé. Ce que je regrettais vite, ma vessie finit par se réveiller et je sentais qu'elle était pleine. Enfin, je n'étais pas encore en danger immédiat, je pouvais patienter un peu. Chris paya l'addition et l'on partit vers sa fraternité.

Durant notre promenade, Chris ne pouvait s'empêcher de coller sa main sur mon derrière et mon rembourrage de couche-culotte. Il semblait se moquer qu'on le voit avec sa main sous ma jupe! Arrivé à la maison, Chris eut alors une bonne occasion de voir ce que je portais. Je me tournais lentement en face de lui tout en soulevant bien haut ma jupe. En réaction, il me serra tout de suite dans ses bras et me serra très fort. Dommage qu'à cause de mon envie de faire pipi son étreinte fût plutôt embêtante. Je lui demandais s'il pouvait m'avoir les signatures rapidement, et il me dit que oui. On alla dans sa chambre avec deux gars qui était dans le secret des pratiques initiatiques de ma sororité.

Je n'avais jamais été aussi humiliée. Je me penchais sur le lit de Chris et descendait ma culotte en plastique sur les genoux. Chaque garçon se mit à apposer une signature sur la couche-culotte couvrant mon popotin. Je m'apercevais aussi que, plus je me faisais humilier, plus je me trouvais excitée. En fait, jamais je ne m'étais dans un tel état... Mais je fis un gros effort pour ne pas le montrer devant les gars de la fraternité. Une fois leur tâche accomplie, Chris demanda à ses confrères de partir et il referma la porte.

Nous ne pûmes nous contrôler. On se retrouva sur le lit à s'étreindre et s'embrasser. Il était sur moi, et son poids mettait une pression si forte sur ma vessie que je sus que j'allais avoir un « accident. » Il me laissa passer sur lui, ses mains passèrent en dessous de la culotte en plastique, et il pressa ma couche-culotte avec fermeté. Il avait des mains si puissantes... mais cela ne m'empêchait pas de me tortiller comme si j'étais en chaleur. Chris murmura à mon oreille que je pouvais me laisser aller et pisser lentement dans ma couche. Normalement ç'aurait été impossible pour moi, mais après quelques minutes et avec la pression qu'il exerçait je n'allais bientôt plus pouvoir me retenir.

Chris continuait à me masser les fesses à travers la couche-culotte, et cela faisait aussi bouger le rembourrage entre mes jambes... La sensation des mains de Chris sur mes fesses, le mouvement des couches entre mes cuisses, les murmures qu'il m'adressait comme quoi il était fou amoureux de moi et mon humiliation absolue, tout ça était trop à gérer. Je perdis tout contrôle et commençais à mouiller ma couche. J'essayais de prendre mon temps, de ne pas tout lâcher d'un coup afin de faire durer ce moment le plus longtemps possible. Toute la durée où je me laissais aller à l'incontinence, Chris continua à me masser. Pendant que je me faisais pipi dessus, il ne cessait de me dire combien il m'aimait. J'explosais dans un énorme orgasme. Chris et moi n'avions jamais couchés ensemble, et là, je me soulageais de pipi et de cyprine au-dessus de lui sans arrêter de frétiller.

Plutôt que d'être embarrassée, j'avais l'impression d'avoir connu une expérience unique dans une vie. Je savais que je ne pouvais pas retirer ma couche sans avoir des ennuis avec ma sororité, mais il était hors de question que je laisse Chris avec l'érection sans m'en occuper. Celle-ci était si forte, qu'elle était sur le point de faire un trou à travers son slip. Je me tournais de sorte que ma culotte plastique pèse sur le visage de Chris et je baissais la tête sur son caleçon. Après le lui avoir retiré, je mis son pénis dans ma bouche et lui donnait une bonne « séance d'entraînement. » Pendant que ma bouche s'occupait de son sexe, Chris feignait de pratiquer un cunnilingus à travers ma culotte plastique. Tout ce qu'il faisait me chauffait, même ça. Chris finit par exploser dans ma bouche et j'avalais le tout. En quelques minutes nous avions accompli plus de « premières fois » que bien des couples dans toute leur vie.

Il allait être quatre heures et je devais retourner à la sororité. Debout, je demandais à Chris qu'il se presse contre moi pour que je puisse une nouvelle fois me laisser aller dans ma couche-culotte. Il me taquina « si tu n'avais pas ses couches sur toi, je te placerais sur mes genoux pour te fesser comme une vilaine fille. » je répondis « La prochaine fois, j'espère bien! » (Secrètement, j'ai toujours voulu recevoir la fessée.) Un nouveau problème se faisait jour. J'avais trempé mes couches deux fois dans la chambre de Chris et elles avaient atteint leurs limites. Je sentais même quelques gouttes de pipi couler contre mes jambes. C'était pour le moins embarrassant. Chris en profita pour m'asticoter :

« Alors ce gros bébé est très mouillé et à besoin de se faire changer sa couche? »

Avant de partir, Chris m'aida en fourrant du papier toilette devant et derrière ma couche, puis il me conduit en voiture jusqu'à la sororité. Ainsi je n'eus pas à me dandiner tout du long. Il m'embrassa avant que je sorte de la voiture et me dit qu'il était impatient de me revoir ce soir. Je lui demandais ce qui était prévu pour les bizutes à cette soirée, mais il ne me donna pas le moindre indice.

« À bientôt, bébé! »

Il était quatre heures, toutes les bizutes/bébés étaient de retour et nous étions à nouveau alignées pour l'inspection de nos couches-culottes. Notre présidente prit la parole :

« Je vois que vous avez toutes gardé vos couches et passé l'inspection. »

« Je vois aussi que j'ai plein de petites fifilles toutes mouillées sur les bras. »

« Oh, bébé Sara, qu'est-ce que je sens? »

J'avais pitié pour la pauvre Sara. Elle émettait une odeur bien particulière, il n'y avait pas le moindre doute, elle avait souillé sa couche de bien plus que du pipi. Comme notre initiation consistait à nous humilier et non à nous faire mal, on pouvait dire que Sara était humiliée de la pire des façons. Notre présidente déclara :

« nous allons donner à Sara un peu de repos, et ne pas l'obliger à porter sa couche sale pour la fête de ce soir. »

« Alors s'il vous plaît, les bébés, rassemblez-vous pour que l'on change Sara. »

Au milieu de la pièce, Sara fut allongée sur une longue table basse. La salle était pleine des consœurs de la sororité souhaitant être témoins de ce qui allait se passer. Sara protesta, mais à l'unisson, tout le monde se mit à battre des mains pour l'encourager. Deux consœurs lui tinrent les mains, deux autres lui retenaient les jambes, et sa Maman de sororité eut « l'honneur » de lui changer sa couche sale. Sa couche-culotte fut rapidement retirée, et son cucul efficacement nettoyé grâce à des lingettes. Habituellement, Sara était l'une des bizutes les plus extraverties, mais cette épreuve avait de quoi lui apprendre l'humilité, inutile de dire que Sara fit attention à ne froisser aucun membre de la sororité. Nous ressentîmes toutes la gêne éprouvée par Sara. Cette expérience donnait à l'humiliation un tout autre niveau de ce que nous pensions possible, et aucune de nous ne voulait se faire remarquer.

Sara ne reçut pas de nouvelle couche, car on nous autorisa toute à avoir une pause sans couche-culotte. On nous demanda de prendre une courte douche puis de descendre vêtu d'un jeans qui ne soit ni taille basse ni moulant, ainsi que d'un pull. Nous ne savions rien de ce qui nous attendait pour la suite. Et pourquoi porter un jeans et un pull? Pourquoi les jeans ne devaient être ni taille basse, ni moulant? Avions-nous dépassé le statut de bébé? On ne nous disait les choses que l'une après l'autre. Psychologiquement, nous étions maintenues à un haut état d'anxiété.

Nous prîmes vite nous douches avant de retourner en bas. On nous demanda une nouvelle fois d'attendre en ligne. Il y avait encore plusieurs heures avant la fête. Nicole, notre présidente prit son temps pour arriver et commença à nous expliquer les activités prévues pour la soirée.

« D'abord, je tiens à vous dire que vous êtes de bons bébés et vous avez bien réussi vos épreuves d'initiations. »

« Ce soir, nous vous testerons pour savoir si votre volonté de rejoindre notre sororité est assez forte. »

« Nous ne demanderons à personne quoi que ce soit qui ne puisse être physiquement accompli ou qui pourrait vous faire mal. »

« Vous devez avoir conscience que la possibilité de devenir membre de notre sororité reposera uniquement sur vos épaules... demandez-vous jusqu'à quel point vous êtes prêtes à aller pour devenir membre? » Elle prenait son rôle de sergent instructeur à cœur. Nous devions répondre à l'unisson et si l'une de nous tardait à répondre elle se mettait à la houspiller.

« Je vois que vous portez toutes des jeans et un pull comme convenu. »

« Je vais demander à bébé Jill de s'avancer pour que je vous montre l'ajout supplémentaire. » Jill fit quelques pas, et je pouvais voir qu'elle avait vraiment la trouille. Notre présidente demanda à une des sœurs de la sororité de s'occuper de Jill

« L'une d'entre vous reconnaît-elle ces chaînettes? »

« C'est exact, vous en avez toutes acheté une pendant la chasse au trésor. » La sœur devant Jill prit la petite chaînette et la glissa entre les passants du jeans jusqu'à en faire le tour. Il restait quelques maillons de libres, notre présidente marcha alors jusqu'à Jill et prenant les deux bouts de la chaînette, elle serra très fort autour de la taille. Elle sortit ensuite un des cadenas miniatures acheté la veille, et passa l'anneau du cadenas à travers le petit trou de la languette du jeans ; puis elle y glissa aussi les deux derniers maillons de la chaînette, finalement elle rabattit le verrou du cadenas.

« Jill, peux-tu, s'il te plaît, retirer ton jeans le plus vite possible? » Jill tenta de faire coulisser le jeans, mais aussi fort qu'elle essaie, elle ne pouvait dézipper sa braguette ou retirer la chaînette le long de sa taille, ses efforts restaient vains. Je compris alors pourquoi nos jeans devaient arriver au niveau de nos tailles et pas de nos hanches.

« Bizutes, comme vous pouvez le voir, Jill est prisonnière de son jeans! »

« Vous ne pourrez le retirer que quand votre Papa ou votre Maman le décidera. »

« Eh oui, chacune de vous sera enfermée dans son jeans, seuls votre Papa et Maman auront la clef. »

« Mais ne vous inquiétez pas, vous n'aurez pas à rester encagées toute la nuit. »

« En fait, vous n'aurez à supporter cette condition que pour les trois prochaines heures, le temps de dîner et de se préparer pour ce soir. »

« Puisque vos Papas et Mamans seront les seuls à avoir les clefs de vos jeans, vous avez intérêt à ne pas les contrarier s'ils vous demandent quelque chose, ou vous risquez d'être incapable de retirer votre jeans quand vous en aurez besoin. » Comme nous avions toutes mouillé nos couches ce matin, nous comprenions le sous-entendu sarcastique de sa remarque.

Et ainsi, nous fûmes toutes enfermées dans nos jeans. On nous demanda d'essayer de les retirer, mais personne n'y parvint. Le cadenas et la chaînette se montraient robustes. Heureusement, comme nous portions des pulls personne ne pouvait remarquer que nous étions cloîtrées dans nos jeans... À moins qu'une nouvelle humiliation ne fût prévue?

Notre présidente continuait à nous chapitrer.

« Durant les trois prochaines heures, vous êtes la propriété de votre Papa et Maman grecs. »

« Certaines parmi vous seront amenées à faire les boutiques pour choisir un vêtement adéquat pour la fête de ce soir. » Elle précisa que notre Papa et Maman choisiraient un habit spécialement prévu pour nous.

« Il n'y a que deux règles à respecter concernant votre costume pour ce soir. »

« Premièrement, pour rester dans le thème de la journée, vous aurez à porter une couche-culotte. »

« Vu vos performances d'aujourd'hui, je crois que vous avez toutes bien besoin de couche. »

« Et deuxièmement, vous aurez un collier de chien pendant toute la fête. »

« Si, ni votre Papa, ni votre Maman ne tiennent votre laisse à un quelconque moment durant la soirée, vous serez punies pour tentative d'évasion. »

« La seule exception à cette loi sur les laisses, est si vous participé à un jeu qui requiert que vous soyez libre, ou si votre Papa ou Maman en ont eu assez de vous et vous ont attaché à un meuble. »

« Si j'étais vous, je prendrais bien soin d'être fermement tenu par la laisse, vous ne voulez pas vous retrouver libre... »

« Revenez dans trois heures pile et l'on ira à la fête en groupe. »

« Je récapitule, chacune de vous portera un habit choisi spécifiquement. En outre vous serez en couche-culotte, avec un collier de chien, et tenu en laisse. »

On nous expliqua encore que nos couches-culottes devaient nous apprendre à être dépendantes de nos consœurs. Le collier signifiait notre lien étroit à la sororité. Quant à la laisse, cela montrait que nous acceptions l'autorité de notre sororité. Nous devions ainsi apprendre l'humilité. (Note de l'auteur : arrivé à ce point, vous pourriez avoir des doutes sur l'authenticité de cette histoire. Je vous assure pourtant que tout ce que j'ai écrit est absolument exact. J'ai pris soin de ne pas nommer ma sororité, ni l'université, mais certaines d'entre ont dû reconnaître les caractéristiques de cette initiation... Cela fait trois ans que j'ai quitté l'université, mais je sais grâce aux membres actuels de la sororité que les pratiques de bizutage sont restées exactement les mêmes.)

Nos mamans de sororité s'approchèrent de nous. Ma Maman souleva mon pull pour vérifier que la chaînette était fermement attachée et me serrait bien la taille. Quand elle fut sûre que je serais incapable de retirer mon pantalon sans son aide, elle me dit : « J'ai cru comprendre que tu es devenu très proche de Chris. »

« Je me suis arrangé pour que l'on puisse dîner avec lui avant de faire du shopping. »

« On doit choisir ton habit de sorte qu'il corresponde à ta personnalité et à tes passions. »

« Par exemple, comme j'étais dans l'équipe de pom-pom girls quand j'étais bizute, j'ai dû mettre un costume de pom-pom girl à la soirée. » J'ai demandé à Janet si, elle aussi, avait porté une couche-culotte, le collier et la laisse. Elle confirma qu'elle avait subi le même rituel, mais que le traitement avait été adouci depuis qu'elle était bizute. Enfin, ajouta-t-elle rapidement, la semaine infernale était loin d'être finie...

Avec Janet, on retrouva Chris dans un petit restaurant sympa. On s'assit pour discuter en prenant quelques verres de vin. Je n'avais pas l'autorisation d'ouvrir la bouche à moins d'en avoir l'ordre exprès. Chris et Janet parlaient de moi comme si je n'étais pas là. J'aurais dû être en colère contre Chris, mais je savais qu'il le faisait dans un bon esprit. De toute façon, j'étais trop amoureuse pour être en colère contre lui. Ils discutaient de la couche-culotte que j'avais portée plus tôt et décidèrent que j'étais faite pour ça. Ils parlèrent aussi du costume que je devrai porter pour la fête. Je me rendais compte qu'ils testaient ma réaction à chaque nouveau costume. Chris suggéra que je serais mignonne en petit bébé, surtout si j'y allais en couche-culotte. Janet, elle, pensait que je serais adorable en petit animal de compagnie et que ça irait très bien avec le collier et la laisse. Ils tombèrent d'accord pour trouver un collier et une laisse qui correspondrait aux couleurs de mon costume. Et ils continuaient de conférer sur moi en parlant de toutes sortes de détails embarrassants. Toutefois, Chris ne parla jamais de notre aventure sexuelle, et je ne l'en appréciais que plus pour ça. Tout au long du dîner on me fit boire abondamment en prévision de la fête, et quand je m'en plains Janet me rappela qui tenait les clefs de ma liberté. Chris ajouta même, « tu ne voudrais quand même pas avoir un accident au restaurant ou au centre commercial. » J'avais bien compris leurs menaces. Je demandais humblement si je pouvais aller aux toilettes pour femmes avant de quitter le restaurant. Ils discutèrent un peu et Chris conclut que si je finissais mon verre de vin et buvais aussi trois verres d'eau il ouvrirait le cadenas suffisamment longtemps pour que je puisse aller aux toilettes. J'avais une envie très pressante et j'acceptais (ce n'est pas comme si j'avais vraiment eu le choix.) Je bus rapidement tous les liquides et Chris, fidèle à sa parole, déboucla mon jeans.

J'allais dans les toilettes pour femmes et j'ouvrais les vannes pour ainsi dire. Quand je bois beaucoup, je n'ai pas de problème jusqu'à ce que j'aille aux toilettes une première fois. Après ça, j'ai besoin d'y retourner très souvent. Ça m'inquiétait. Chris m'attendait à la sortie des W.C. et cadenassa mon jean avec une certaine gaieté.

« J'adore avoir ce genre de contrôle sur toi. »

« C'est comme si je te mettais une ceinture de chasteté - pour mon usage exclusif. »

Je suis une femme fière de mon indépendance, mais me faire traiter ainsi m'excitait. C'est une sorte de dichotomie, j'ai beau être indépendante, j'aime quand je me subordonne à mon homme, quand je ne suis plus aux contrôles. Je peux alors exprimer ma sexualité sans inhibition.

On se rendit au centre commercial où les courses ne prirent pas longtemps. D'abord, on passa par la boutique Fredrick's of Holywood (ndt : une chaîne de lingerie sexy.) Chris nous amena devant un assortiment de vêtements très osés. Mes "parents" me firent essayer toutes sortes de costumes cherchant celui qui ferait le plus scandale. Quant à moi, je devais simplement tenir ma langue, et obéir aux ordres. À la vendeuse, Janet expliqua que nous étions en quête de quelque chose d'extravagant pour une fête assez olé olé. Elle nous conduisit devant un présentoir avec les habits les plus indécents qui soient. Il y avait des vêtements en cuir, en plastique, en vinyle et en plein d'autres matières encore. La vendeuse nous aida à faire un choix, et on me mena à l'arrière-boutique où je pourrais défiler dans les vêtements retenus. Chris déverrouilla mon jeans et j'entrais dans la cabine d'essayage en saisissant le premier habit à portée de main. C'était une jupe en plastique transparent. Elle était un peu plissée, très courte, et bien sûr, on voyait à travers. Pas très pratique à porter, mais ce n'était pas son but. Je mis la jupe et fus choquée en me voyant dans le miroir, mes dessous se voyaient en transparence. Habillée comme ça, je suis sûre que la plupart des mecs m'auraient trouvé très sexy. Quand je sortis de la cabine, j'en eus la confirmation en voyant Chris se mettre à rougir. La vendeuse fit l'article, montra que la jupe m'allait bien, etc...

Je retournais dans la cabine essayer l'article suivant, mais cette fois, avant de m'en vêtir, je m'éclipsais vers les w.c. situés tout à côté. J'étais heureuse d'avoir pu trouver des cabinets ici, où j'aurais été bonne pour avoir un accident. (Ce que je ne savais pas, c'est que Janet m'avait vu m'éloigner et l'avait rapportée à Chris.) Le costume resté dans la cabine était constitué d'un mini-short en vinyle d'un rouge flamboyant et d'un haut ressemblant à un corset, lui aussi en vinyle et de la même couleur. Quand je mis l'ensemble, je me faisais l'effet d'une vilaine fille. C'était curieux, je me sentais bien plus exhibitionniste avec cet ensemble que si j'avais paradé nue. On me fit essayer quelques vêtements supplémentaires, puis je dus remettre mon jeans. Janet passa en caisse pendant que je me rhabillais, j'ignorais ce qui avait été choisi.

Lorsque que je sortis de la cabine et Chris tenait le cadenas ouvert, il passa la chaînette autour de ma taille et le referma. J'étais à nouveau prisonnière. En quittant le magasin, Janet apporta une grande bouteille de coca que je dus boire pendant qu'on finissait les courses. Chris me demanda : « Comment était les W.C. dans le magasin? Propre, j'espère... » Je manquais de défaillir.

« Lorsqu'on aura fini nos achats, j'ai une petite surprise, et cette fois je ne te quitterais pas des yeux. » Chris appela quelqu'un sur son portable et je devinais qu'il prenait des mesures punitives.

La boutique suivante était une animalerie. On se dirigea vers le mur où les colliers étaient exposés. Il y en avait vraiment de toute sorte. Un vendeur vint nous aider. J'étais m o r t e de honte... Chris expliqua ce dont on avait besoin. J'avais espéré que l'on pourrait faire semblant de chercher un collier pour un chien et pas pour moi! Je demandais si un collier ne m'étranglerait pas. Chris en désigna un en cuir rose. Le vendeur le décrocha pour me le tendre. Il semblait mesurer ma gêne et demanda si j'avais besoin d'aide pour le mettre. Janet répondit : « S'il vous plaît, mettez-lui autour du cou. Je veux être sûr qu'elle soit à l'aise avec. » Le vendeur se montra très obligé, et le plaça, il n'eut aucun souci à la fermer.

« Que diriez-vous d'une laisse pour aller avec? » demanda-t-il. Et aussitôt une laisse en cuir rose fut attachée à mon collier... le tout en plein milieu de l'animalerie. (Maintenant, je sais qu'il y a une mode chez les ados qui consiste à porter des colliers, mais c'était tout nouveau pour moi et diablement embarrassant.) Le vendeur assena le coup de grâce :

« Regardez comme elle a l'air joli. »

« Qui est le chanceux qui va tenir la laisse? » Chris hocha la tête et dit qu'il serait mon « dresseur. » Rien qu'à la sonorité du mot dresseur, je me mis à trembler d'excitation.

Chris dit que nous devions voir quelqu'un et qu'on allait payer le collier et la laisse. Le vendeur, un petit malin demanda, « vous voulez que je vous les mette dans un sac ou vous les gardez sur vous. » Heureusement ce fut mis dans un sac. Je n'y accordais pas vraiment d'importance, mais je remarquais que Chris achetait aussi trois colliers réglables.

On se mit en route vers le centre du complexe commercial pour rencontrer la personne que Chris avait appelée. Je marchais en tressautant, car je sentais l'appel de la nature et avais une envie très pressante. Janet doucha mes espoirs, elle me dit qu'elle aurait été très heureuse de déverrouiller mon jeans, mais que j'avais eu le front d'utiliser les toilettes dans son dos. (Je doutais de sa sincérité.) Je lui dis que j'étais sur le point de mouiller ma culotte.

« Je peux aller aux toilettes, s'il vous plaît? » j'étais complètement ignorée.

C'est alors que mes deux coéquipières, Amy et Heather vinrent à notre rencontre. Accompagner de leur Papas et Mamans grecs. C'était donc le groupe qu'on attendait. Il était clair que, basé sur leurs mouvements, les deux filles devaient se retenir pour ne pas se faire pipi dessus. Chris nous dit : « les filles, avant qu'on y aille, j'ai une chose amusante pour vous toutes. » Nous étions à côté du carrousel du centre commercial et Janet sortit des tickets de sa poche.

« Allez les bizutes! » s'exclama Chris

« Je suis sûr que vous avez envie de monter sur un petit cheval. » On n'eut pas l'occasion de protester. (Heureusement, car ce qui allait arriver est un souvenir que je me remémore avec délectation pendant mes masturbations.) On nous mena sur le manège pour qu'on monte sur les chevaux comme des petites filles ; les mecs de la fraternité nous aidèrent à grimper chacune sur un petit cheval de bois. Je me mouillais presque en m'installant dessus, et je sais que les autres filles aussi, car l'on gémit toutes à l'unisson. Au moins nous étions assises l'une à côté de l'autre. Je savais qu'on allait avoir des ennuis, car Chris demanda avec sarcasme si j'allais pouvoir rester sur un grand cheval comme ça.

« Je ne voudrais pas que tu tombes et que tu te fasses mal, » se moqua-t-il. J'étais encore sous l'effet du vin bu pour dîner et avant que je me rende compte de ce qu'il faisait, Chris attacha le collier réglable acheté dans l'animalerie à la chaînette autour de ma taille. Dans un même mouvement, il referma le collier sur le pôle qui tenait le cheval en bois. Tout aussi rapidement, Heather et Amy furent liées à leur cheval par leur Papa. On s'était fait avoir.

Nos Mamans nous tendirent chacune une bouteille d'eau qu'il nous faudrait boire en entier. (Comme si on avait besoin de boire encore plus...) Janet précisa, « on reviendra de temps en temps, pour vérifier que vous avez bien obéi. »

« Avant de pouvoir descendre de vos petits poneys, vous devrez avoir mouillé vos culottes. »

« Vous avez bien toutes compris? » Hélas, on ne comprenait que trop bien.

Le manège démarra et on se mit à rire, tout en étant assez effrayées. Comme nous tenions les rênes des chevaux, nos manches et nos pulls cachaient efficacement l'attirail qui nous attachait au pôle central. Il me semblait qu'Heather et Amy avaient bu bien plus d'alcool que moi. Amy semblait même un peu pompette, elle lâcha : « la dernière à mouiller sa culotte est un œuf pourri! » plus facile à dire qu'à faire... Se faire pipi dessus en plein milieu d'un centre commercial, à la vue de tous, ça n'avait rien de simple. Si ce matin j'avais pu me f o r c e r à faire pipi dans ma couche-culotte, au moins j'avais une couche-culotte, ça cachait le problème.

Le premier tour de manège finit et le gérant de l'attraction vint prendre nos tickets. Un autre tour commença. L'on passait le temps en buvant nos bouteilles d'eau, quand Amy fut la première à dire qu'elle ne pouvait plus tenir. Je regardais autour de nous pour voir si on l'avait entendu, elle était très bruyante! Quelques personnes passant devant le manège nous jetaient des regards curieux. C'est vrai que ce n'est pas tous les jours que l'on voit trois grandes filles faire du carrousel. Amy se pencha en arrière sur sa selle, ferma les yeux et commença à mouiller son jeans. Et par là, je veux dire, inonder son jeans! Elle n'avait aucune couche-culotte pour cacher son pipi! Heather et moi, incrédules, regardions son jeans tourner au bleu foncé. L'avant et l'arrière étaient complètement trempés : « Youpi! » Cria Amy. Elle était saoule. Moi aussi, j'aurais aimé être bourrée, j'aurais été bien plus à l'aise.

Le manège s'arrêta et le gérant s'approcha pour recevoir les tickets. Comme mon cheval était le plus proche du bord, je les lui donnais. D'autant que je ne voulais pas qu'il voie le pantalon trempé d'Amy. Quand le manège redémarra, Heather et moi devions mettre fin à notre inconfort coûte que coûte. Enfin... Ce n'était pas comme si on avait vraiment le choix. Au point où j'en étais, j'avais l'impression que du pipi allait me sortir des oreilles! Joueuse, Amy nous encouragea : « Au compte de trois, on lâche tout! » Comme nous commencions à compter, je sentis ma vessie prendre le contrôle de mon corps. Je mis mes bras autour du pôle traversant le poney et de mes jambes m'agrippais au petit cheval aussi fort que je pouvais. Je mouillais mon jeans. Je me balançais d'avant en arrière sur ma selle pendant que mon pipi s'échappait librement. Je ne pouvais pas endiguer le flot. Je m'appuyais sur les étriers pour essayer de moins sentir l'humidité de mon jeans, évidemment, ça ne marcha pas. Je me rasseyais pour finir de faire pipi et regardais Heather. Elle semblait avoir perdu la tête, soit de plaisir, soit de honte. Son visage reflétait les deux.

Toutes trois, nous étions dégoulinantes de pisse. Et bien que l'odeur ne soit pas désagréable, la senteur provenant de nos jeans mouillée était très forte. Je vis arriver nos Mamans et Papas qui rigolaient à gorge déployée. Ils nous avaient observés pendant tout notre calvaire. Ils se précipitèrent sur nous quand le manège stoppa et nous détachèrent des pôles. L'on s'observa l'une l'autre. Je n'avais jamais été aussi gênée! On était pathétique, mon pipi avait traversé tout mon jeans et était descendu jusqu'aux chaussures. Et le pire, c'est que quand vous vous faites pipi dessus, on ne peut pas le cacher. Les marques sur le pantalon sont très spécifiques, pas du tout uniformes comme quand l'on tombe dans une flaque.

Chris tapota mes tâches humides en face des autres. J'étais si humiliée... mais j'aurais tout accepté pour que Chris me prenne dans ses bras. Il m'accompagna avec le reste du groupe jusqu'aux toilettes publiques. Nos jeans furent déverrouillés et on nous tendit un sac où se trouvait un de nos habits pour la fête. Le mien était le costume en vinyle rouge que j'avais essayé plus tôt. Je ne m'habille normalement pas avec des vêtements aussi provocants, mais je n'avais pas d'autres choix. C'était déjà bien que je puisse quitter ma culotte et mon pantalon imbibés de pipi. Ce ne fut pas facile de retirer mon jeans collant, mais j'y parviens. Je décidais de laisser ma culotte mouillée dans les toilettes, mais pris le jeans avec moi. Je mis le mini-short rouge vif et le corset correspondant et sortis des w.c. un peu penaude. Amy et Heather portaient des costumes franchement vulgaires. Amy avait une robe noire très courte quant à Heather, elle portait des bas résilles et les talons hauts les plus longs que j'ai jamais vus. On ne pouvait pas faire un pas dans le centre commercial sans qu'on nous mate. On se dépêcha de rentrer à la sororité.

Je me demandais ce que nous réservait la suite du programme. Avec espoir, je me rappelais que notre présidente avait dit ; nous étions très proches de devenir des sœurs de la sororité. Je me rapprochais très étroitement de Chris, je pensais aux souvenirs que nous partagerions ensemble. Même si c'était gênant pour moi à admettre, il faudrait que je lui dise comme j'avais trouvé tout cela excitant. Même si je supposais que Chris savait déjà que je participais à l'initiation avec enthousiasme. J'ignorais par contre s'il aimait autant que moi porter des couches-culottes. Après tout, avant ce bizutage, si quelqu'un m'avait proposé de porter une couche-culotte et de me faire pipi dessus, j'aurais pensé qu'elle était folle. J'en apprenais beaucoup sur moi.

Quand l'on revint, la sororité était en pleine activité. Tous se préparaient pour la longue nuit. C'était comme si la journée n'allait jamais finir! Chaque bizute était prise en main par sa Maman pour être habillée. J'essayais de deviner ce que chacune allait porter. On savait que nos costumes seraient jugés, alors nos Mamans voulaient que l'on soit à notre avantage. Je savais que la couche-culotte et le collier allaient faire partie du costume, et j'étais impatiente et inquiète de savoir ce que je porterais d'autre. Je n'eus pas longtemps à attendre. Quand nous n'étions pas dans les dortoirs de l'université, toutes les bizutes dormaient ensemble dans la grande salle de la sororité. Presque tout le deuxième étage était occupé par cette pièce. Notre responsable de sororité était une merveilleuse vieille femme qui prenait soin de nous toutes. Elle avait accroché une corde à linge qui traversait toute la salle, et après avoir rincé nos culottes en plastique, elle les avait mises à sécher sur le fil. C'était une vision surprenante. Je me sentis fébrile en voyant nos noms sur le dos de nos culottes précédées du mot « Bébé. » Je décrochais la culotte en plastique qui disait « Bébé Kimberly » et la tendis à Janet. Elle la mit de côté, puis rassembla divers objets et fourra le tout dans le sac à couche que j'avais acheté durant la chasse au trésor. La responsable de la maison avait brodé nos noms sur chaque sac, on ne pouvait pas se tromper. (Notre responsable, Nancy, avait beau être âgée, elle participait à toutes les activités de la sororité et était très active.)

Janet prit soin de me préparer pour la fête. La sororité gardait différents objets pour bébé dans ses réserves. (C'était la troisième fois consécutive que le thème des bébés était utilisé comme rituel d'initiation.) Janet me demanda de m'allonger alors qu'elle allait farfouiller dans un coffre. Elle revint avec trois grandes couches lavables et les étendit tout à côté. Elle tira sur mon mini-short en vinyle que je portais depuis le centre commercial pour le retirer, et elle plaça les couches sur mes fesses. Je protestais faiblement, mais elle n'en tint aucun compte. Elle poussa les couches entre mes jambes et les fixa en place. Elle me demanda de me lever pour examiner son travail. D'autres filles se préparaient dans la salle et je remarquais qu'elles s'arrêtaient pour me regarder. Janet me fit tourner sur place, elle était contente. Si je pensais que la couche jetable que je portais auparavant avait un rembourrage épais, ce n'était rien comparé à trois couches lavables mises l'une sur l'autre. Janet me fit placer les pieds dans les ouvertures de ma culotte en plastique et la remonta le long de mes jambes. Ensuite elle sortit une culotte à frou-frou qu'elle avait achetée chez Fredrick's. J'avais déjà vu ce genre de culotte, mais jamais porté par une fille de mon âge. La culotte était rose avec des rangées de frou-frou sur les fesses. Elle avait pensé à l'acheter en taille extra-large, car elle devait contenir toutes les couches-culottes posées sur mon postérieur. Je remontais la culotte rose moi-même et Janet me demanda d'aller au centre de la pièce et de revenir pour voir l'effet que ça donnait. Les couches volumineuses me f o r ç a ient à me dandiner, et tout le monde trouvait que ça me rendait mignonne. Des ex m'avaient dit que j'avais un joli cul, mais avec les vêtements que je portais, c'était impossible à deviner. Janet continua de m'habiller avec la jupe en plastique transparent acheté plus tôt, ainsi qu'avec une brassière rose coton de la marque « bebe » le logo bien visible dessus. C'était approprié, jugeais-je. Pour finir, je devais enfiler des chaussures avec des talons aiguilles incroyablement grands. Enfin, elle referma le collier en cuir rose autour de mon cou. La sensation et le symbolisme du collier me donnèrent un frisson. J'eus le fantasme de Chris me mettant un collier sur le cou, cette pensée m'excita fortement.

Je me regardais dans un miroir sur pied pour me faire une idée plus juste de mon apparence. Je trouvais que je ressemblais à quelque chose entre une « fille sauvage et perverse » et une « prostituée en couche-culotte. » Si l'idée était de nous donner un air excentrique et complexé, le but était atteint. Janet suggéra, « regarde, tu peux voir les frous-frous sur tes fesses à travers ta jupe. »

« T'as l'air vraiment choute. »

« Je parie que Chris va adorer te voir habiller comme ça. » Mais tout ce que je pensais était que ça allait être horriblement gênant de me rendre à une fête de sororité/fraternité vêtue de couches-culottes et d'un ensemble qui en montrait tant.

Avant de partir à la fête, nous fûmes rassemblés pour recevoir les dernières instructions et subir une inspection de Nicole, la présidente. Elle n'allait pas nous rendre les choses faciles. Elle me sélectionna pour faire une démonstration qui allait toutes nous rendre malades de trouille.

« En avant, Bébé Kimberly. »

« Mets-toi à quatre pattes. »

« Je vais vous montrer comment obéir quand votre dresseur vous donne un ordre. »

« Le "dresseur" est la personne qui tient votre laisse. » précisa-t-elle en attachant la laisse à mon collier.

« Assise! » J'étais lente à réagir, car je n'étais pas sûre de ce que « assise » voulait dire.

« Bizute idiote. » Elle tira sèchement sur la laisse me f o r ç a nt à me mettre à genoux et les mains en position assise.

« Vous voyez comme Kim a vite appris la position assise? » Elle donna un bref coup sur la laisse, je compris qu'elle voulait que je la suive à quatre pattes pendant qu'elle marchait.

« Fais attention à rester proche de moi, et à t'arrêter quand je stoppe. »

« Quand je m'arrête, tu dois t'asseoir comme une bonne chienne s'assiérait à côté de son maître. » Elle poursuivit en me faisant obéir à une série d'ordres humiliants. Puis elle prit une petite balle qu'elle jeta à travers la salle.

« Ne va pas chercher tant que je ne dis pas "va chercher." »

« Très bien, maintenant, Kim, rapporte la balle. » je fis de mon mieux pour marcher à quatre pattes jusqu'à la balle et la pris de mes mains.

« Quelle petite fille stupide! Pas avec les mains. »

« Utilise ta bouche et apporte-moi la baballe. » C'était difficile, mais je parvins à me pencher jusqu'à mordre dans la balle. Nicole m'attendait avec la palette de la sororité.

« Laisse la balle à mes pieds! »

« Si tu ne portais pas autant de rembourrage, je t'assure que tu sentirais ces coups. »

Nicole me donna cinq grands coups de palette. Ce fut plus pour la galerie, car je ne sentis pas grand-chose physiquement. Mais j'étais sur le point de pleurer à cause de l'humiliation.

Nicole s'adressa aux bizutes.

« Pour qu'aucune de vous ne soit tentées de faire la même erreur idiote que Kim en prenant la balle de ses mains, je vais devoir vous retirer la possibilité d'utiliser vos mains pendant la fête. »

« De toute façon de petits bébés comme vous n'ont pas de raison d'utiliser leurs petites menottes. » Je crois que l'on avait toute la même question en tête... Comment pouvait-elle nous empêcher d'utiliser nos mains? La réponse ne tarda pas...

Et -quelle chance- Nicole me garda comme sujet test pour la démonstration.

« Kim, donne-moi la patte... je veux dire la main, » me taquina Nicole. Elle saisit ma main pendant que j'étais assise sur le sol. Elle glissa une très grande moufle sur la main et l'enfonça comme si c'était un gant de boxe. En fait, ça rassemblait beaucoup à un gant de boxe, la moufle était toute ronde. Il n'y avait pas de trous pour les doigts ou pour le pouce. Deux cordons pouvaient s'attacher et elle les serra par un nœud au niveau du poignet. La moufle était assez légère et la surface faite en cuir ou en vinyle. Je n'arrivais pas à déterminer de quoi était fait l'intérieur, j'avais l'impression d'avoir la main dans un sac à haricots. Je sentais des boules à l'intérieur, mais ne parvenais pas à les toucher car il y avait un revêtement interne. Je pouvais toutefois remuer le pouce et les doigts, mais tout juste de quelques millimètres. Mes mains allaient être inutilisables. Nicole me mit l'autre moufle pour que mes deux mains soient emprisonnées. (J'appris plus tard que c'est notre responsable, Nancy, qui avait été assez « gentille » pour confectionner toutes ces moufles.

« Faisons une autre démonstration pour les bizutes, » aboya Nicole

« Montre au public comment tu sais marcher sur tes pattes. » Ce fut facile. Avec les moufles, j'avais l'impression d'avoir des coussinets au creux des mains.

« Maintenant, Kim, je veux que tu ailles jusqu'à la porte de l'armoire. »

« Debout! Ouvre la porte! » J'essayais de tourner la poignée, mais avec mes moufles, je ne parvenais même pas à accomplir une action aussi simple. Nicole me demanda de retirer mes moufles, mais cela aussi m'était impossible.

« Vous voyez les filles, Kim va avoir besoin de toute l'aide de ses "dresseurs" ce soir. »

« Elle n'est pas fichue de faire quoi que ce soit par elle-même. » Nicole demanda à ce que je revienne vers elle. Comme je me déplaçais sur les genoux, je remarquais que ma laisse traînait entre mes jambes ; arrivée devant Nicole elle me félicita « Kim est une bonne petite bizute. » Elle me tapota la tête et me mit un morceau de sucre dans la bouche. J'étais furieuse, mais j'essayais de ne pas le faire voir. Je laissais le sucre fondre sur ma langue et restais à ses pieds. Je crois que toutes les bizutes pensaient à la même chose... Comment allions-nous traverser la fête si l'on ne pouvait même pas faire les gestes les plus simples? La pièce était silencieuse, nous étions toutes légèrement paniquées. Les membres de la sororité avaient vraiment pensé à tout pour nous angoisser. On enfila des moufles similaires aux miennes sur chaque bizute afin que l'on : « expérimente un lien mutuel. »

Nicole n'en avait pas fini de ces singeries. Elle choisit Heather, ma coéquipière pour la suite.

« Bizutes, vous vous souvenez que ce matin Heather a pensé pouvoir ignorer les règles de notre initiation en retirant sa couche-culotte. »

« Eh bien, nous avons une petite surprise pour Heather. »

Nicole se mit à parler :

« Heather, veux-tu t'étendre sur le dos? »

« Je vais demander à deux consœurs de te maintenir les bras et les jambes. »

« Heather, nous faisons ça pour ton bien, inutile de gigoter ou de donner des coups de pied, tu risquerais seulement de te faire mal. »

Je pouvais voir qu'Heather se montrait peu coopérative et paniquait. Elle fut « aidée » à se mettre sur son dos par plusieurs membres de la sororité.

« Heather, tu as l'air très jolie dans ta chemise de nuit. » Nicole commanda à une consœur de retirer la culotte en plastique d'Heather ainsi que sa couche jetable. Heather était étendue sur le tapis et tremblait. Nicole examina la couche.

« Je vois que tu n'as pas eu d'accidents. »

« Tu es vraiment une grande fille Heather. »

« Voyons si on peut changer ça! » Sur ce cri, Nicola attrapa un bocal de pâte à tartiner au beurre de cacahuètes. Elle y enfonça une grande cuillère et la remplit de beurre. Je n'en croyais pas mes yeux. Nicole, bourrait sa cuillère de pâte à tartiner à ras bord et en versait le contenu dans la couche jetable.

« Heather, qu'est qu'on ressent à avoir du beurre écrasé entre les fesses? » Heather n'offrit aucune réponse et Nicole ordonna aux sœurs de lui langer les fesses. Les filles semblaient beaucoup s'amuser à refermer la couche-culotte. Elles prirent soin de serrer la couche bien fort sur Heather puis mirent du ruban adhésif autour. Une fois la couche bien fixée, la culotte en plastique « Bébé Heather » fut remontée le long des jambes. Les filles lâchèrent les bras et les jambes d'Heather.

« Debout! » Ordonna Nicole.

« Bébé Heather, fais quelques pas. » Heather marcha, essayant de garder les jambes serrées.

« Il y a un problème, bébé Heather? Quelque chose de déplaisant dans ta couche? »

« Si l'une de vous, bizute, désobéissez aux règles, vous aurez droit au même traitement, ou pire. » Avant de finir son discours, Nicole s'amusa à tapoter le derrière d'Heather. Cette petite démonstration nous donna des sueurs froides. Je me disais que le bizutage physique était peut-être fini, mais ce qui avait pris sa place était bien pire.

Nicole ne démordait pas de ses sarcasmes « Maintenant que nous en avons fini avec les fioritures, je parie que vous êtes impatiente d'aller à la fête. »

« Peut-être certaines de vous se sont demandées pourquoi vous accumuliez des points, et à quoi ces points serviraient? »

« Laissez-moi vous expliquer. »

« Les deux équipes qui auront le plus faible nombre de points à la fin de la fête auront perdu le concours des bébés. »

« Ce qui veut dire que six bizutes dormiront dans la crèche ce soir. »

« Pendant que nous serons à cette joyeuse fête, notre merveilleuse responsable, Nancy, va transformer une des chambres en une petite crèche pour les six bébés bizutes. »

« Je laisse les détails à votre imagination débordante, mais Nancy va nous faire une crèche vraiment charmante. »

« Pour les six "chanceuses", je peux leur assurer que cette une nuit en crèche sera une expérience qu'elles n'oublieront jamais! »

« Ainsi en perdant la compétition, vous gagnerez des souvenirs qui resteront gravés toute votre vie... C'est plutôt pas mal.

« Je crois que certaines d'entre vous pourraient vouloir perdre intentionnellement! »Nicole était toujours narquoise avec nous. Nous doutions toutes que quiconque puisse souhaiter perdre.

On nous donna les points gagnés par chaque équipe. Heather, Amy et moi étions à la toute dernière place, mais nous étions déterminés à ne pas le rester. Même si je savais que me faire humilier m'excitait, il était hors de question que je risque une nuit dans cette « crèche. » Je me demandais ce qui arriverait aux pauvres bizutes qui seraient dernières, j'étais aussi impatiente de retrouver Chris et fus assez contente quand on nous dit de nous mettre en route.

La fête avait lieu dans un bar-restaurant du centre-ville proche de l'université. La partie restaurant avait été fermée, notre sororité et fraternité-frère ayant loués l'établissement pour la nuit. On ne nous dit que peu de choses sur ce qui allait arriver. Juste qu'il y aurait un défilé (pour montrer nos costumes), des jeux compétitifs et la prestation d'un hypnotiste. Tout ce à quoi l'on participerait compterait pour notre total de points, et mon équipe en avait cruellement besoin.

Les bizuts de la fraternité auraient dû être là, habillés en fille, mais leur sort avait été retardé d'un jour. Une fois dans le bar, on nous rassembla dans une pièce voisine en attendant le défilé. Comme on nous l'avait promis, chacune de nos Mamans nous tenait par nos laisses. Nous avions l'occasion de discuter entre nous, on en profita pour exprimer nos souhaits de s'enfuir, ce qui ne plût pas à nos Mamans qui nous intimèrent de « la fermer. » Elles tirèrent sur nos laisses pour bien se faire comprendre.

Le défilé consistait à monter sur la scène et à nous pavaner dans les « trucs » qu'on avait choisis pour nous. Comme j'avais pas mal d'expérience de mannequinat, j'étais habitué à me montrer en face d'un public, mais cela n'avait rien à voir! Déjà je n'avais jamais fait de mannequinat menée en laisse et en portant une couche-culotte!!! On nous amenait l'une après l'autre sur la scène où l'on marchait. Malgré les tenues coquines, les bizutes étaient très jolies, je me rendais compte que la compétition allait être serrée. Bébé Amy fut appelée sur la scène ou normalement des groupes de rock jouaient. Les organisatrices se référaient à nous uniquement par les termes de bébé ou de bizute. Amy était habillé en « Baby New Year. » Un déguisement américain typique où le bébé est habillé d'une couche, d'une écharpe de cérémonie et d'un haut de forme. Amy n'avait comme tout vêtement que ses couches en tissu et l'écharpe « Baby New Year. » On lui avait retiré sa culotte en plastique, et je crois qu'elle était la seule dans ce cas ; du moins à la vue de celles dont la tenue permettait de voir la culotte. Je craignais que si Amy se mettait à mouiller ses couches, elle se trouve dans une situation vraiment gênante, car rien ne cacherait son souci. En tout cas, Amy n'était vraiment pas timide, elle fit une super performance!

Je fus ensuite appelée sur scène avec ma "dresseuse" Janet. Je voulais faire tout ce qui était en mon pouvoir pour impressionner les juges et marquer des points. J'avais mis au point en avance une scénographie avec Janet, j'allais en faire des tonnes sur scène et Janet devait jouer le jeu. Je prétendrais tenter de tirer sur ma laisse tandis que Janet lutterait fermement. J'avais toujours entendu dire que les garçons aiment ça, voir des filles se battre entre elles. Je pensais que ça plairait aussi aux juges. Il y eut une lutte pour de faux pour le contrôle de laisse, et un moment on se retrouva au sol à se battre. Les gars et les filles dans l'audience étaient déchaînés. La lutte finit quand Janet tira sur la laisse et que je me mis à ses pieds. Comme je m'avouais vaincu, elle prit un bout de laisse et fit semblant de me fouetter. Le public n'arrêtait pas d'applaudir et de crier pour nous encourager. Quand les juges rendirent leur verdict, j'obtenais un plus gros score que toutes les autres filles passées avant.

Je n'aurais pas le temps de donner une description complète des tenues de toutes mes camarades bizutes, mais certaines étaient exceptionnelles. Je pense aussi que la crainte de finir parmi les deux dernières équipes encourageait des comportements étonnants sur scène. Comme la bière circulait librement, on était toutes assez décontractées et on s'amusait. Heather fut très douée pour cabotiner et amadouer le public. La sono du bar la décrivit comme la bizute au cul beurrée quand elle monta sur scène. Il était rapidement devenu de notoriété publique qu'Heather avait une grosse motte de pâte à tartiner dans sa couche. Pour s'amuser, les garçons ne se lassaient pas de lui donner de petites tapes amicales sur les fesses. Quand Heather finit son numéro, nous étions remontées de plusieurs places dans le classement des équipes. Mais le défilé n'était pas fini.

Une des bizutes, Donna, était habillée dans une tenue de soubrette très sexy. C'était de loin mon costume préféré. (J'adore me déguiser pour les fêtes d'Halloween.) Donna avait, tout comme moi, une culotte à frou-frou qui dépassait de son déguisement de bonniche. Et, tout comme moi, on devinait facilement que sous la culotte se trouvait une couche-culotte. Donna savait plaire à la foule... ce n'était pas facile à cause des moufles, mais elle parvint à faire jaillir un sein de sa toilette. Cela rendit le public fou. Donna et son équipe obtinrent le score le plus élevé. Après que toutes les équipes soient passées, notre équipe se retrouvait en avant-dernière position. Mais il y avait encore plein d'occasions à venir pour marquer des points, on avait encore bon espoir de ne pas finir dans les deux dernières places.

Comme c'était une fête d'étudiants, il y avait quantité de bière à boire. Mais il y avait un problème pour nous autres bizutes, car nous ne pouvions pas saisir les canettes avec nos moufles. Bien sûr, nos Mamans grecs y avaient pensé et elles sortirent de nos sacs à couche les biberons achetés durant la chasse au trésor. J'étais assise aux pieds de Janet pendant qu'elle et Chris était à table, elle tenait toujours ma laisse, mais la prêta à Chris pour remplir le biberon de bière. Chris me regarda alors dans les yeux : « J'ai de la chance d'avoir une aussi jolie fille au bout de la laisse. »

« Je me demande si mon bébé aura besoin de changer sa couche ce soir? »

Quand Chris me parle de cette façon je me mets à fondre. (Pour ceux d'entre vous qui me lisent, vous ne me comprenez peut-être pas, mais quand on me « remet à ma place, » j'en suis toute excitée.) Janet finit de verser la bière dans le biberon et verrouilla la tétine. Elle me tendit la bouteille, et j'eus bien du mal à y boire. D'abord il fallut que Janet me donne la permission de boire, puis que je porte maladroitement le biberon à ma bouche, devant lutter à cause de mes mains emmitouflées pour ne pas le laisser échapper. Une fois le biberon entre mes lèvres, je pus me mettre à téter la bière. Je tenais à être un petit peu saoul pour surmonter la gêne que j'éprouvais.

Janet se baissa, souleva ma jupe pour passer la main sous ma culotte en frou-frou et celle en plastique. Elle dit comme si c'était naturel « Notre petite Kimberly est toujours sèche. » Chris répondit « Alors donnons-lui plus à boire, il ne faudrait pas qu'elle ait soif. » C'était si humiliant de se faire parler de cette manière, mais par peur des mauvais tours qu'ils pouvaient avoir dans leur sac je n'émis aucune protestation. Je me demandais alors si j'avais une possibilité de m'échapper. Mon cœur était prisonnier de Chris, mais je me mis à penser que si je m'évadais, cela montrerait à Chris et Janet que je n'étais pas une fiche molle.

Je ne savais pas s'il était vraiment possible de s'enfuir vu toutes les contraintes qui pesaient sur moi. Mais je guettais l'occasion fortuite pour échapper au contrôle de mes dresseurs. Même si je ne parvenais pas à m'échapper, j'allais vendre cher ma peau. Je devais faire un peu de chahut. Je ne sais pas trop ce qui me prit, mais je me levais et m'asseyais à une chaise libre. Janet et Chris furent sidérés par mon audace. Chris réagit en premier :

« Qu'est-ce que tu crois être en train de faire ma petite? »

« Qui t'a permis de t'asseoir à notre table?

« Il y a des punitions pour les petites filles désobéissantes comme toi. »

« Janet, est-ce que tu ne penses pas qu'il faudrait mettre bébé Kimberly "au coin" pour son mauvais comportement? » Janet répondit, « Je crois que c'est une excellente idée. » Janet me prit le biberon des mains et Chris tira sur la laisse pour me faire lever et le suivre. La laisse était un moyen extrêmement efficace pour me contrôler, Chris me mena sur scène où il fit une annonce publique : « Nous avons une bizute très désobéissante ici qui doit apprendre la discipline. » Il demanda à ce qu'on lui amène une chaise pour e n f a n t , une de ces hautes chaises en bois fut apportée sur scène. Je me débattais (la bière me rendait sûre de moi), mais Chris n'eut aucun mal à me faire asseoir sur la chaise. Dès que je fus installée, Janet coinça rapidement un plateau dessus, il y avait aussi une petite lanière en cuire sur la chaise qui fut bouclé contre ma taille. Chris dit « Maintenant tu devrais être en sécurité... Je ne voudrais pas que tu tombes et te fasses mal. » Je m'agitais mollement, cette chaise-haute était faite pour les gosses et j'étais compressée par la chaise ce qui m'empêchait de beaucoup bouger. J'essayais de m'extraire du plateau, mais avec les moufles je ne pouvais ni l'enlever, ni déboucler la ceinture. Il ne me restait qu'à taper des pieds comme si je faisais une grosse colère.

« Quelle petite fille capricieuse! C'est ce genre de comportement qui montre que tu as besoin d'être disciplinée. » Les gens riaient à mes dépens, je me calmais suffisamment pour que Janet apporte un biberon plein de bière « Bois ça. »

Et donc j'étais là... assise sur une scène dans mon bar préférée, portant une couche-culotte et assise dans une chaise pour e n f a n t . Je parie que si mes parents voyaient comme était dépensé l'argent pour me permettre d'aller à l'université, ils s'en seraient m o r t s de chagrin. Mon agitation, mes coups de pieds me donnaient envie de faire pipi. Mais j'étais sûr que Chris et Janet ne me permettraient pas d'aller aux toilettes après ma petite crise. En fait, Janet devait trouver que je ne buvais pas ma bière assez vite, car elle souleva la bouteille et l'enfonça dans ma bouche en m'ordonnant de boire. Elle ne retira le biberon qu'une fois vidée. Et ça ne suffit pas. Elle me donna à boire un autre biberon, cette fois remplie de jus de fruit ; elle devait faire attention à ce que je ne sois pas trop saoule, mais tenait à ce que j'ai l'estomac qui flotte dans le liquide. Quand le biberon fut bu, un autre prit la place, avec la bière à nouveau.

J'éprouvais une pression intense pour faire pipi. Je pensais que je me sentirais mieux, si je me faisais pipi dessus secrètement. Mais j'avais toujours du mal à me mouiller volontairement. Même dans une couche, mes muscles ne voulaient pas se relaxer suffisamment. Pendant que je tétais un des biberons de Janet, je fermais les yeux et m'imaginais être sur un siège de toilette. Ça sembla vraiment marcher, je fus capable de détendre mes muscles pour lâcher une rapide salve de pipi. Et waouh! Ça faisait du bien. J'exerçais une tension pour arrêter le flot, c'était assez pour le moment. Je regardais par instinct si on pouvait voir des tâches de pipi entre mes jambes, mais le plateau sur la chaise pour e n f a n t  me cachait la vue. Je pensais toutefois que mon secret serait sauf, vu que je n'avais laissé échapper qu'un petit peu de pipi. Et puis, j'avais trois couches-culottes superposées, en plus d'une culotte en plastique. C'était la première fois que j'étais contente d'avoir une couche sur moi.

Cette nuit à la fête, il y avait plusieurs jeux d'organisés. Tous étaient conçus pour humilier les bizutes. Je ne fus pas autorisée à jouer aux premiers puisque j'étais puni, mais j'avais un excellent point de vue pour regarder les autres jouer. Il y eut une course de tricycle marrante, un jeu à boire avec des biberons et une course où les bizutes rampaient. L'un des jeux les plus hilarants concernait un changement de couche. Trois des bizutes avaient droit de changer leurs couches, heureusement comme la fête ne devait pas devenir classée X, les filles allaient dans les toilettes et se mettaient en combinaison de bain. Elles allaient ensuite sur scène et s'allongeaient sur des matelas. Trois chanceux avaient alors le droit de changer leur couche (par-dessus le maillot de bain.) Et même si les garçons avaient bien envie que les filles retirent leur combi, ils se montrèrent respectueux. Chaque garçon plaçait une couche sur sa partenaire fille. J'avais peur que l'un d'eux n'enfonce une épingle à nourrice dans l'une des bizutes, mais heureusement ce ne fut pas le cas. Une fois langées, les trois filles étaient aspergées d'eau. C'était très drôle.

Je fus finalement autorisée à sortir de ma chaise pour e n f a n t . Chris me dirigeait par la laisse et me faisait marcher pour que je me mêle aux autres, même si on n'avait pas beaucoup d'échanges. La plupart des bizutes devaient sucer une tétine, quand elles n'avaient pas un biberon à la bouche. Janet me glissa une tétine dans ma bouche aussi et me demanda de bien faire attention à ne pas la laisser tomber. Je marchais donc avec Chris, souvent à quatre pattes au bout de la laisse et suçant une tétine.

J'avais pris le coup pour contrôler l'immense pression sur ma vessie en relâchant un peu de pipi avant de tout de suite serrer les muscles pour arrêter le flot. C'était à mon avis le meilleur moyen pour rester relativement à l'aise sans avoir une couche-culotte en train de fuir. Avec le recul, je me suis bien amusée. Je me sentais si vilaine, j'étais parmi mes camarades de sororité et fraternité et je m'autorisais de « petites giclées. » C'était vraiment un stimulant très fort d'avoir ce petit plaisir secret.

Plus je buvais, plus je devais laisser échapper de pipi dans ma couche. Chris me tirait partout avec la laisse comme il rencontrait plein d'amis dans le bar, mais l'on finit par s'isoler un petit moment. Chris me prit dans ses bras, me dit combien il m'aimait. C'était exactement ce que je voulais entendre. J'étais folle amoureuse! Il me dit que pendant que nous faisions l'amour plus tôt, il avait joui plus intensément que jamais auparavant. Je lui répondis que quand il m'avait massé ma couche, mon orgasme avait été fabuleux. Je lui dis encore que tout cela était nouveau pour moi, que j'étais heureuse que l'on puisse vivre ces expériences ensemble.

Comme je n'arrêtais pas gigoter, Chris sentit que j'avais à faire pipi. Il me tint extra fort et me dit de mouiller ma couche. Si seulement il savait à quel point elle l'était déjà...

« Tout ce que tu veux » lui dis-je. J'écartais les jambes et commençais à pisser dans ma couche-culotte. Il me demanda de lui décrire ce que je ressentais. Je fis de mon mieux. J'étais reconnaissante que Chris me tienne si fort où je serais tombée par terre, la bière m'aida à parler :

« Je suis en train de mouiller ma couche... Je sens la chaleur contre ma peau... Je peux sentir l'humidité dans toute la couche... Je me sens vilaine... Et si bien. » Comme ma couche était déjà pleine de pipi, elle ne pouvait en absorber plus.

« Je sens une flaque se former dans ma culotte plastique, au niveau de mon entrejambe. » Chris se baissa jusqu'au niveau de ma jupe et tata me gentiment l'entrejambe : « Mon bébé est très mouillée. »

« Je sens que tu patauges dans ta culotte. » Je m'inquiétais que si je faisais un simple pas, mon pipi ne coule le long de mes jambes. Chris me dit « Tu as été une bonne fille »

« C'est l'heure de changer ta couche. »

Chris appela Janet et lui tendit la laisse. Il lui demanda de m'amener jusqu'aux toilettes pour femmes et de me mettre une nouvelle couche. Il lui murmura quelque chose d'autre, mais hors de portée de mes oreilles. Janet prit le sac de couches et donna un petit coup sur la laisse. Je me dandinais en faisant très attention que le pipi ne ruisselle pas.

Arrivée dans les w.c, je vis que plusieurs bizutes étaient déjà présentes pour être nettoyées et changées. Janet me dit de me m'étendre sur le dos d'un comptoir spécialement fait pour langer les bébés. Il mesurait un peu plus d'un mètre, et pour m'y installer je devais plier les jambes. Janet rapporta alors ce que Chris lui avait murmuré : « Il veut que je te laisse en couche-culotte sans ta culotte à frou-frou et en plastique. »

« Il pense que tu es trop mouillé pour les mettre. » C'était vraiment gênant de s'entendre dire ce genre de chose.

« Alors, voyons comme Bébé Kimberly est humide. »

« Wouah, bébé Kimberly est vraiment trempée. » J'essayais de dire quelque chose, mais Janet me fourra une tétine dans la bouche pour m'empêcher de parler pendant qu'elle me changeait. Plusieurs membres de la sororité vinrent regarder et aider Janet. J'étais totalement humiliée, mais j'avais très envie de quitter ma couche-culotte pleine de pipi. Janet se montrait condescendante à mesure que le changement de couche progressait.

« Je crois que tu as un petit peu trop bu. »

« Tu aurais dû dire que tu avais besoin d'aller aux toilettes plutôt que de mouiller ta couche. » Je crachais ma tétine et lui lançais qu'elle était une grosse conne! Ce fut une erreur me dis-je immédiatement après, car Janet menaça : « plus tard ce soir, tu vas payer pour cette remarque petite fille! » Janet retira ma culotte, mon dessous en plastique et mes trois couches mouillées. Les filles me poudrèrent le derrière, et m'enrubannèrent dans une nouvelle couche jetable. Je demandais à ce que l'on me remette ma culotte à frou-frou pour cacher ma couche, mais ma demande fut ignorée. Avec un nouveau coup sur laisse on me fit comprendre que je devais quitter la table de changement et on sortit des toilettes.

On entra dans le bar, Chris revint prendre ma laisse. Il regarda ma jupe transparente : « Tu as l'air bien langée. » Il me dit qu'il me réservait une place pour le prochain évènement de la soirée.

Note : La prestation de l'hypnotiste arrivant ensuite, et étant une des participantes j'ai demandé à Chris de décrire la suite.

C'était le jour de la "semaine infernale" où les bizutes vivaient l'épreuve de « l'humiliation en couche », et quelle journée! D'abord je tiens à dire que Kim est la femme de mes rêves et que je ne pouvais être plus heureux. Elle était vraiment à tomber et nous avons été capables de partager nos désirs, nos sentiments et nos fantasmes les plus secrets. Elle est ce qui m'est arrivé de mieux. Et maintenant pour ce qui concerne la fête...

Ayant participé à la fête de l'année précédente, je savais l'hypnotiste vraiment doué pour obtenir des bizutes de faire toutes sortes de choses embarrassantes et bébêtes. Je voulais assister à l'hypnotisation de Kim et je m'étais assuré qu'elle fasse partie des sélectionnées. Bien sûr, il n'y avait aucune garantie qu'un sujet puisse être placé sous H y p n o s e , mais avec trois autres bizutes, Kim en faisait partie. Une des autres filles était sa coéquipière, Amy. Il y avait aussi Judy et Bridget. Amy avait encore sa tenue de « Baby New Year » avec sa couche bien visible. Judy portait un uniforme d'infirmière assez coquine et Bridget était habillée en motarde, avec une courte jupe noire en latex. Il était facile de voir que notre fraternité avait eu son mot à dire quant aux costumes, toutes les filles étaient charmantes.

L'hypnotiste s'appelait Tom, et il s'y connaissait pour créer un spectacle vraiment marrant (aux dépens des filles il faut bien reconnaître.) Les filles étaient hypnotisées hors scène et ne montaient qu'ensuite sur l'estrade pour faire le show. Tom demanda aux filles d'imaginer être de tout petits bébés ne pouvant pas faire de vraies phrases. Il les fit asseoir sur scène et il leur fit croire qu'elles se trouvaient dans un parc pour e n f a n t  dont elles ne pouvaient sortir. Tom posa un jouet entre les filles et leur suggéra qu'elles voulaient toutes jouer avec. C'était drôle de les voir se battre pour s'approprier le jouet, d'autant qu'aucune ne pouvait s'en saisir à cause de leurs moufles. Amy se mit même à pleurer quand une des filles lui subtilisa le jouet placé à côté d'elle. On fut pris d'un fou rire énorme.

Tom passa à un autre scénario. Il les fit asseoir sur des tabourets de bar, et à travers l'H y p n o s e  il leur demanda de s'imaginer être en avion. Il entra dans des détails, fut très précis sur la façon dont elles avaient la ceinture de sécurité sur elles, car l'avion traversait des turbulences. Il poursuivit en suggérant que les filles avaient beaucoup trop bu et commençaient à avoir la bougeotte sur leur chaise. Tom décrivit leur expérience en détail...

« Les filles, vous avez bu café sur café ce matin et vous avez vraiment besoin d'aller aux toilettes. Vous êtes vraiment mal à l'aise et êtes impatientes que le pilote éteigne le signal de la ceinture de sécurité... Vous avez l'impression d'être sur le point d'exploser... Vous commencez à vous balancer d'avant en arrière sur votre siège... Vous passez les jambes l'une sur l'autre, mais rien ne vous soulage de la pénible pression sur votre vessie. » À mesure que Tom fournissait ses suggestions aux filles, elles répondaient en agissant et reproduisant exactement ce qu'il disait. Nous étions tous silencieux dans le bar en observant les filles se débattre sur leurs « sièges d'avion. » Tom continua... « Les filles, je veux que vous vous souveniez d'un jour où vous vous êtes fait v i o l ence pour ne pas mouiller votre culotte. »

« Et maintenant, vous vous débattez de toutes vos f o r c e s pour ne pas mouiller vos culottes dans l'avion. »

« Vous tentez de retenir votre pipi en plaçant une main sur votre entrejambe et en la poussant contre votre vessie. » Les filles se retenaient toutes en se balançant sur les grands tabourets. « Imaginez l'embarras si vous mouillez vos culottes devant tous les passagers. » Amy se mit à pleurer un peu.

« Vous réalisez que vous ne pouvez plus vous retenir plus longtemps... Vous connaissez cette sensation les filles? » Elles répondirent « Oui, oui. » Tom poursuivit « Les filles, je veux que vous vous penchiez contre vos sièges d'avion, leviez les pieds de vos sièges et teniez vos genoux. »

« Écartez vos jambes et remuez vos genoux d'avant en arrière dans un dernier effort pour vous garder au sec. »

« L'avion traverse un trou d'air et vous êtes effrayées. »

« Vous savez que l'avion se porte bien, mais cette frayeur soudaine vous donne encore plus envie de faire pipi. »

« Les filles. Je veux que vous m'imploriez pour que je vous autorise à mouiller votre culotte et en finir avec votre inconfort. » Les filles répondirent « S'il vous plaît, s'il vous plaît. » Tom les faisait demander pour se faire pipi dessus.

« S'il vous plaît, est-ce que je peux me faire pipi dessus... S'il vous plaît. » Les filles chantaient. Tom dit alors « Je compte jusqu'à cinq, et à cinq vous vous soulagerez de votre de pipi aussi vite que possible. » Tom compta lentement jusqu'à cinq. Cinq passé, les quatre filles tous ensembles poussèrent un soupir de soulagement. Ce qui arrivait à Amy fut le plus visible puisqu'elle portait juste sa couche-culotte lavable. On la voyait presser sa vessie pour faire pipi le plus vite possible, sous nos yeux, la couche d'Amy passa instantanément de sèche à complètement trempée. Mais je faisais surtout attention à Kim, elle portait aussi une couche jetable, avec ses pieds sur le tabouret on voyait facilement la zone de son entrejambe. Sa couche disposait d'un indicateur d'humidité, quand il se colora en bleu, je sus que sa couche était devenue humide. Judy et Bridget semblaient comme figées sur place. C'est compliqué à décrire, je peux juste dire que voir leur expression de soulagement se peindre sur leur visage pendant qu'immobiles, elles mouillaient leur couche, ça n'avait pas de prix.

Tom voulut aller encore plus loin dans l'expérience. « Vous avez toutes mouillé vos culottes et vous êtes très gênées. Vous avez peur que les gens le sachent, et vous essayez de le cacher avec mains. »

« Vos sièges sont complètement trempés et vous tentez de vous lever, mais les ceintures de sécurité vous retiennent. » Les filles agissaient en fonction de chacune des commandes de Tom. Elles faisaient des grimaces et des mouvements bizarres. Tom finit la démonstration et sortit les filles de leur transe hypnotique. Il leur dit qu'elles ne se souviendraient de rien de ce qu'elles avaient vécu. Le public applaudi un bon moment. J'allais retrouver Kim et la pris dans mes bras. Elle réalisa tout de suite que sa couche-culotte était humide et me demanda comment c'était arrivé. Je lui demandais si elles se souvenaient du vol en avion, elle répondit « non. » C'était vraiment surprenant, j'aurais aimé avoir un enregistrement de son vol pour le partager avec elle.

//Retour au point de vue de Kim//

Bien que je ne me souvienne pas ce qui était arrivé pendant l'H y p n o s e , j'étais quand même très gêné de m'être donnée en spectacle, mais nous priment plutôt bien l'humiliation puisque les sœurs de la sororité nous réconfortèrent en nous disant que ce serait formidable qu'on entre dans la sororité. C'était bon signe.

La fête allait finir, et il était temps d'annoncer le décompte final des points. Je savais que l'on était fichu, n'ayant pas pu gagner de points pendant les épreuves à cause du temps passé la chaise pour e n f a n t . En plus, Heather en retirant sa couche plus tôt dans la journée avait remis le compteur à zéro. J'avais comme seul espoir de m'échapper et d'esquiver le sort qui m'attendait, mais je ne voyais pas comment ; je n'étais jamais laissée seule sans compter que l'on me tenait en laisse. Les scores d'équipes furent annoncés, et on ne fut pas surprise d'apprendre qu'Amy, Heather et moi passerions la nuit dans la crèche en compagnie de trois autres bizutes. Ça ne m'aurait pas tant inquiété si les filles de la sororité n'en faisaient pas un si grand pataquès. C'est vrai quoi, comment dormir dans une crèche pouvait-il être si terrible par rapport à tout ce que nous venions de subir?

Nicole, notre présidente, nous dit combien elle était fière de toutes ses bizutes. Et ça nous consola de savoir que tout ce qui nous était arrivé leur était aussi arrivé durant leur initiation. Comme pour tout ce qui concernait "la semaine infernale", Nicole nous rappela que nous ne devions parler à personne de nos expériences. Elle nous dit que les prochaines années nous aurions l'opportunité de participer comme « non-bébé ». Ça me semblait vraiment bien, ce serait drôle de voir des bizutes traversées ce qu'on avait vécu.

Nicole nous annonça les bonnes nouvelles.

« Toutes les bizutes vont avoir leurs moufles et couches retirées. »

« Je sais que cela va en décevoir beaucoup, car vous êtes nombreuses à vous être accoutumées et appréciées de porter des couches-culottes. » Elle se fit huer par les bizutes.

« Toutefois, pour les chanceuses bizutes qui passeront la nuit en crèche, je les prierais de revenir ici une fois que vos Mamans auront ôté vos moufles et couches. » Au moins, ça me serait retiré...

Janet me mena par la laisse jusqu'aux toilettes pour femmes. Elle retira ma couche jetable pendant que je restais debout.

« Wow, tu es encore toute mouillée! » Déclara Janet très fort en essayant de me mettre encore dans l'embarras. Ensuite elle dénoua les lacets qui retenaient mes mains dans les moufles. C'était bon de pouvoir à nouveau remuer les doigts. Je commençais à toucher au collier pour le retirer comme les autres bizutes l'avaient déjà fait.

« Ce n'est pas permis, » dit Janet.

« Les six bizutes devant retourner à la crèche doivent conserver leur collier et rester en laisse, au moins jusqu'au retour à la sororité. » En effet je remarquais que quelques autres bizutes gardaient leur collier. Je demandais à utiliser les toilettes. « Tu viens juste de mouiller ta couche, tu as encore besoin de faire pipi? » j'expliquais que j'avais bu beaucoup et que j'en avais désespérément besoin. Janet pour toute réponse tira sur ma laisse pour que l'on quitte les toilettes. Elle s'arrêta pour me donner la culotte à frou-frou que je portais plus tôt.

« Mets ça pour te couvrir. » Je l'enfilais, mais me sentait encore très dénudée. Je pouvais voir dans le miroir que ma culotte était très visible sous la jupe en plastique.

« C'est mieux, Chris aime les jolies petites filles. »

Sans moufles, j'étais capable d'offrir plus de résistance, et avant de quitter les toilettes j'essayais de prendre la laisse des mains de Janet. Elle devait s'y attendre, car elle tira la laisse très fort. (Je n'avais jamais porté de collier, évidement, et j'étais étonnée par le dégrée de contrôle que Janet pouvait exercer sur moi grâce à la laisse.) Janet presque en m'étranglant me fit sortir des w.c.. La laisse fut donnée à Chris et il me fit rejoindre les autres cinq bizutes condamnées à devoir passer la nuit en crèche. Nicole donna de brèves instructions.

« Vos Papas et/ou Mamans vont vous reconduire à la sororité. »

« J'ai demandé à chacun d'eux qu'ils vous gardent dans les colliers pour avoir un strict contrôle grâce aux laisses. Par le passé, certaines bizutes ont été tentées de s'échapper. Je ne prendrais aucun risque avec vous, les filles. Nicole finit en disant : « On se retrouve à la sororité où vous serez bordées proprement pour la nuit. » Sur ce, Chris donna un coup sur la laisse et je le suivais hors du bar.

Dehors attendait une longue limousine que Chris avait réservée pour les équipes perdantes de bizutes ainsi que leurs Papas et Mamans. Nous étions tous un peu saouls et c'était une bonne chose d'avoir un moyen de transport. C'était la plus grande limousine que j'ai jamais prise, mais on était quand même serré. On nous ordonna, à moi Heather et Amy de s'asseoir sur le sol en moquette. J'étais assise aux pieds de Chris, les bras enroulés autour de ses jambes. Il me tapotait la tête et me caressait les cheveux, mais ne laissait jamais échapper la laisse. J'avais la sensation de lui appartenir, et bizarrement ce n'était pas un sentiment désagréable. J'aurais juste souhaité qu'on soit seuls.

Alors que la limousine quittait le bar-restaurant, Heather demanda à aller aux toilettes. Elle semblait désespérée.

« Les filles, vous auriez dû y penser avant de partir, » dit Janet. Je dis alors assez rudement qu'on lui avait demandé, mais que nous n'avions pas reçu la permission.

« Dommage les filles, » dit Chris. Je ne sais pas qui en eut l'idée, mais on s'arrêta à un drive-in, et trois grandes boissons furent commandées pour Amy, Heather et moi-même. On leur dit qu'ils étaient cruels, mais cela fit juste rire nos Papas et Mamans, et ils nous demandèrent de boire. On essaya de siroter par petites gorgées, mais ils tinrent alors les coupes contre nos bouches nous fonçant à engloutir toute la boisson. Avoir eu autant à boire nous donnait une envie constante de faire pipi.

La pensée traversa mon esprit qu'avec une couche je n'aurais eu ce problème. (Mais je chassais cette pensée, du moins momentanément...) Je dis à haute voix que j'allais faire pipi par terre. Heather et Amy dirent la même chose. Je pensais que ça attirerait leur attention, et avec succès. Le conducteur de la limousine nous informa qu'il y avait un parc situé près de la place publique du centre-ville. (Je pouvais voir que le conducteur regardait nos moindres faits et gestes par le rétroviseur. Je suis sûre qu'il a dû trouver tout ça très intéressant.) La voiture s'arrêta et nos trois Papas nous tirèrent hors de la voiture par nos laisses.

« À quatre pattes, et avancé juste sur nos pas petites bizutes. » Nous étions toutes menés dans différentes directions, mais devions chacune nous traîner aux côtés de notre dresseur. Chris me dit « Mince Kim, je ne vois pas de toilettes, je crois que tu vas devoir faire pipi dans l'herbe comme une petite chienne. » J'avais toujours eu le pouvoir sur mes ex-petits amis et je pensais qu'il serait facile de me sortir de cette situation avec Chris.

« Tu NE VAS PAS me faire accroupir pour faire pipi comme une chienne, non? » Mais je me trompais. J'avais beau protester Chris dit : « À moins que tu ne veuilles essayer de te retenir toute la nuit, je te conseille de profiter de cette occasion pour faire pipi. »

« Je ne peux pas, » affirmais-je. Chris prit une petite branche et me fouetta le derrière. J'essayais de ramper hors de sa portée, mais il n'avait qu'à tirer sur la laisse pour m'empêcher de m'enfuir. Il me donna un nouveau coup de branche sur les fesses.

"Ouille!"

"Maintenant, pipi!" cria Chris. Je n'avais jamais reçu d'ordre comme ça, et aucun garçon ne m'avait parlé de cette façon. J'aimais la voix puissante de Chris et la façon dont il me tenait sous son contrôle. (Et c'est plutôt dur pour un gars de me contrôler, Chris y arrivait sans problème.) Je dis à Chris que je portais toujours la culotte à frou-frou et lui demandais de me l'enlever. Chris répondit, « Ce n'est pas toi qui décides, tu gardes ta culotte. »

« Tu restes à quatre pattes, tu t'accroupis comme la chienne que tu veux tellement être, tu écartes les genoux et tu fais pipi! »

« Maintenant! » Chris prit la branche et pour renf o r c e r ses demandes fouetta à nouveau mon derrière. Personne n'avait eu une emprise aussi totale sur moi et c'était excitant. C'était aussi humiliant, mais j'aimais que Chris me commande.

Je fis de mon mieux pour me pencher légèrement en arrière et écarter les genoux afin que mes jambes ne soient pas mouillées. Contrairement à la soirée où j'avais trouvé cela très dur de me faire pipi dessus volontairement, j'avais ouvert les vannes si souvent que je trouvais maintenant assez facile de relâcher mon pipi. Agenouillée à quatre pattes, je commençais à faire pipi dans ma culotte. Chris tenait fermement ma laisse et me tapotait la tête comme si j'étais une chienne. Il regardait intentionnellement sous ma jupe en plastique et je devais révéler un sacré spectacle. Au début mon pipi rencontra le nylon dont était faite ma culotte et l'humidité se répandit aussitôt sur tout mon entrejambe. Cela me fit sursauter. Comme je continuais à faire pipi, un jet finit par se former et traversa la matière fine de ma culotte pour atterrir sur l'herbe. L'embarras et le soulagement que je ressentais me conduisirent à deux doigts de l'orgasme. Chris remarqua immédiatement que je prenais mon pied.

« Je vois que mon petit chiot aime faire pipi dehors. » Comme je finissais mon pipi, Chris se baissa devant mon entrejambe et me massa à travers la culotte. Il dit, « Tu viens de mouiller ta culotte, ou t'es juste contente de me voir? » Son sens de l'humour était à mourir. Je lui dis que je l'aimais et que je voudrais m'étendre dans l'herbe pour qu'il me fasse l'amour. Il me taquina et me dit qu'il aimait sa nouvelle petite chienne. Malheureusement il fallait retourner à la limousine et il me fit marcher à quatre pattes les mains dans l'herbe. On retrouva les autres et on monta dans la voiture. Même si je n'avais pas vu Heather et Amy se soulager dans le parc, je pouvais dire qu'elles avaient fait pipi, car nous étions toutes bien contentes. Même si ce ne fut que pour un court moment...

De retour à la sororité, on accorda à toutes celles destinées à aller en crèche l'occasion de se nettoyer avant de se mettre au lit. Chris et Janet me retirèrent le collier du cou. C'était un soulagement de ne plus avoir ce cercle en cuir sur moi, même si secrètement j'avais aimé me sentir sous contrôle. (Plus tard j'espérais que Chris voudrait bien faire de moi son petit animal servile.) La soirée avait été vraiment longue et j'étais éreintée. Avec les cinq autres bizutes, nous étions dans nos robes attendant d'être amenées à la « crèche ». Chris m'étreignit pour me souhaiter une bonne nuit, et me dit que j'étais la fille la plus incroyable qu'il ait jamais rencontrée. Je ne sais pas ce qui me prit, mais je lui répondis que j'aimais la façon dont il me soumettait. J'essayais de reprendre ma bourde en expliquant que je voulais dire qu'il prenait soin de moi. Chris sourit et dit quelque chose d'étrange à mon oreille, « ne bois pas le biberon bleu, c'est un biberon pour les très vilains bébés. »

Nos Mamans et certaines sœurs nous escortèrent jusqu'à la chambre du premier étage. On arriva devant une porte fermée avec l'écriteau « Crèche. » Je jetais un œil autour de moi pour voir la réaction de mes camarades bizutes, et remarquais l'absence d'Heather.

« Il est temps de mettre nos bébés bizutes au lit, » annonça Nicole. Juste avant d'entrer dans la pièce Nicole et les autres s'aperçurent elles aussi de l'absence d'Heather. Plusieurs filles partirent en courant pour la chercher. Je me demandais si elle était parvenue à s'échapper. La porte s'ouvrit et nous fûmes poussées dedans. Je ne pouvais pas en croire mes yeux, c'était vraiment une crèche! Nicole prit la parole « Bienvenue dans votre nouvelle maison pour la nuit, les petits bébés... Je veux dire, bizutes. »

Notre responsable, Nancy, avait décoré la chambre. Le papier peint était adapté à une chambre de bébé, mais le plus étonnant était les lits. Il y avait six lits identiques alignés contre le mur, et ils ressemblaient à des berceaux pour bébés en plus grands. (J'appris plus tard que ces lits étaient dans notre sororité depuis des années, ils venaient à l'origine d'une unité pédiatrique de l'hôpital du campus. Les lits étaient auparavant utilisés pour faire des courses durant la compétition annuelle des fraternités et sororités. Les roues en avaient été retirées et ils n'étaient plus utilisés, du moins pour les courses.) Nous regardions toutes ces berceaux. Ils étaient en métal avec des barres sur chaque côté. On les ouvrait par le dessus comme dans un berceau pour bébé. Nancy avait placé des pancartes au pied de chaque lit avec nos noms dessus, accompagné de jolis petits dessins. Le mien disait « Bébé Kimberly. » Je marchais jusqu'à mon berceau pour avoir une meilleure vue. Une des filles de la sororité avait placé les animaux en peluche de ma chambre jusque dans le berceau. Une couverture était étendue avec des ours en peluche comme motif. Je me baisais pour toucher le berceau et les draps. Je fus un peu surprise de constater que les draps placés sur le matelas étaient en plastique et non en coton. Tous les lits étaient arrangés de la même façon. La pièce ressemblait à une adorable crèche pour bébé, et malheureusement, nous étions les bébés.

Nicole nous dit, « Très bien les bébés, il est tard et on dirait que vous êtes toutes très impatiente de grimper dans vos berceaux. »

« Vos Papas et Mamans ont été assez gentils pour vous choisir un pyjama parmi ceux achetés durant la chasse au trésor. »

« Je veux voir chacune de vous par terre à côté de son berceau. » Je ne parvenais à penser qu'à aller au lit, et m'assis. Les Mamans avaient l'instruction de nous habiller pour dormir. Janet retira ma robe et se dirigea vers une pile de couches-culottes. Le choc que j'avais ressenti à me faire langer n'avait pas disparu, et j'étais consternée de ce qui allait à nouveau m'arriver. Je savais que si je voulais rejoindre la sororité, il était déconseillé de se battre. Et puis après avoir tant enduré, pourquoi risquer l'exclusion maintenant? Janet prit au moins trois ou quatre grosses couches, elle les déplia pour que je puisse les mettre et les étendit à côté de moi.

« Lève tes fesses que je te lange, bébé Kimberly. »

« C'est une bonne fille. »

« Tu deviens très docile et restes tranquille pendant qu'on te met tes couches, c'est bien. » Je la foudroyais du regard. Elle épingla les couches pour qu'elles soient super serrées et examina son travail.

« Je ne veux pas que tu mouilles ton lit, alors je vais te mettre une couche-culotte jetable par-dessus les autres couches. »

« Tu ne penses pas que c'est une bonne idée, bébé Kimberly? » Je ne répondis pas. Janet fit exactement comme elle l'avait dit. Elle prit une couche jetable et me fit me lever pour la remonter sur mes fesses. Elle fit attention à scotcher cette couche sur mes couches lavables, s'assurant que ma couche-culotte jetable recouvre bien les autres.

« Tu es vraiment une gentille fille. » Je voulais lui donner une claque, mais elle ne faisait que jouer son rôle en essayant de m'humilier le plus possible.

Janet décida de ne pas me mettre ma culotte en plastique. Je pense qu'elle ne me serait pas allée avec toutes les couches que je portais sur moi. Ensuite, Janet me montra le pyjama jaune que je devrais porter. Il était d'une seule pièce, elle m'enfila des "socquettes" au pied puis tira sur le pyjama pour m'y faire entrer les jambes. Je mis mes bras dans les manches et elle remonta le zipper dans le dos du pyjama.

« Tu as l'air si mignonne... laisse-moi t'amener devant le miroir pour que tu te voies. » Je commençais à me lever, mais elle me repoussa à terre.

« Rampe jusqu'au miroir petit bébé. » Quand je parviens devant la glace Janet m'aida à me lever. Je devais admettre que le pyjama était adorable, mais je me sentais vraiment comme un bébé. Et puis debout, je me rendais compte de l'épaisseur des couches. Je devais avoir les jambes écartées à cause de la masse entre mes jambes. Janet dut deviner ce que je ressentais « Tu apprécieras tes couches si tu as un accident cette nuit. » Je lui redonnais un de mes regards consternés, et elle me fit marcher jusqu'au berceau. Je devais avoir l'air drôle à essayer de marcher.

Toutes les bizutes avaient été mises en couche-culotte et avaient passé leur pyjama. À l'exception d'Heather... nous attendions une dernière inspection de Nicole à côté de nos berceaux, c'est alors qu'Heather fut amenée dans la chambre en compagnie de plusieurs filles de la sororité. Heather avait tenté de s'enfuir furtivement, mais s'était fait prendre. Nicole semblait très en colère contre elle, et je fus stupéfaite qu'elle ne lui donne pas des coups de palette sur les fesses ou autre chose pour l'humilier. Heather fut rapidement mise en couche et en pyjama comme nous autres.

Nicole inspecta mon berceau en premier.

« Elle est sensas, Janet, tu as fait un excellent travail en préparant bébé Kimberly pour se mettre au lit. » Je pouvais sentir mes joues virer au rouge. Nicole me fit me retourner. Elle prit une petite chaîne et me la plaça autour du cou. Ç'avait l'air d'un chouette bijou, mais il avait une apparence un peu trop robuste par rapport à un collier traditionnel. Je me dis qu'elle préparait quelque chose, et j'avais raison. Nicola attacha un cadenas sur la chaîne qui se trouvait fixée autour mon cou. Ce que je ne savais pas encore était que de la façon dont le cadenas était placé, il empêchait l'ouverture du zip de mon pyjama. Ce n'est que lorsqu'elle mit le collier sur les autres bizutes que je me rendais de ce qui nous arrivait. Nous étions enfermées dans nos pyjamas! Ça me rappela la fois où on avait été enfermé dans nos jeans au centre commercial, et cette expérience avait été tout à fait humiliante.

Nicole demanda à chaque Maman de nous aider à aller dans nos berceaux. Monter dedans fut assez facile, car un des côtés était en fait une grille amovible. Je m'assis sur les draps en plastique et Janet remit immédiatement la grille en position haute. Nicole nous ordonna de nous étendre. C'était une humiliation assez étrange : je ne pouvais voir le reste de la chambre qu'à travers les barreaux et je ne pouvais déplier complètement les jambes, car le lit était prévu pour un e n f a n t . Mais il était heureusement plus grand qu'un berceau pour bébé. Je ne sais pas trop comment, mais je sentais la matière plastique sous moi. Cela ajoutait à mon sentiment d'être un « gros bébé » qui avait besoin de draps en plastique pour ne pas mouiller son lit. J'avais un peu le tournis à cause de tous les biberons de bière bue au bar. Étendue dans le berceau, la sensation en était d'autant plus forte.

Nicole nous donna ce qu'elle appelait de "bonnes nouvelles."

« Auparavant on attachait toujours les bébés dans leur berceau pour qu'ils ne puissent pas se balader la nuit dans la sororité. »

« Mais vous serez peut-être heureuse d'apprendre que l'université nous empêche de vous enchaîner pour des raisons de sécurité-incendie. »

« Donc, chacune de vous aura une chaîne autour de sa cheville et le tout accroché à cette alarme. » Nicole nous montra un petit appareil de sécurité. (Ça ressemblait à une de ses alarmes portables que l'on transporte dans nos portes-monnaie. En tirant sur l'anneau attaché à l'appareil, il produit un bruit assourdissant.) Ce fut rapide, un bout d'une chaîne légère était attaché à ma cheville, l'autre bout passait à travers les barreaux du berceau. Toutes les bizutes étaient attachées à la cheville par la même chaîne qui était fixée à l'alarme.

« Vous remarquerez si une seul de vous tente de sortir de son berceau, la chaîne tirera sur l'anneau de l'alarme et le déclenchera. »

« Le problème est que si l'alarme se déclenche nous ne pourrons pas savoir quel bébé l'a mise en marche. »

« Vous serez donc toutes punis très sévèrement si ça arrive. » J'étais presque admirative devant toute l'astuce déployée pour nous humilier.

Un plateau de biberon fut amené dans la crèche. Nicole nous dit, « pour que vous n'ayez pas soif cette nuit, chacune de vous va boire un biberon plein de bon lait avant que de faire dodo. »

« Si quand je reviens vous n'avez pas fini votre biberon, vous serez puni. »

« Suis-je bien clair? » Les biberons nous furent donnés. Le mien était jaune. Je me souvins alors de ce que m'avait chuchotée Chris « Ne bois pas le biberon bleu. » Je regardais autour de moi et vis qu'on avait donné le bleu à Heather. Je n'osais pas la prévenir en face des membres de la sororité. Et puis je ne savais pas de quel danger la prévenir. Un moniteur pour bébé fut allumé ainsi qu'une veilleuse. Toutes nos Mamans nous souhaitèrent une bonne nuit, et la porte de la crèche fut refermée.

Aucune de nous ne parla au début. Nous étions toutes en état de choc. Si on était jusqu'à présent resté dans le flou concernant toute cette affaire de passer une nuit en crèche, je commençais maintenant à en comprendre le sens. Toute cette expérience était une nouvelle méthode pour nous humilier, et ça marchait. J'étais étendu sur le dos et touchais le cadenas et la fermeture éclair. Comme pour tout le reste, elles avaient été méthodiques, je ne pouvais rien enlever. C'est alors que le fait d'être aussi coincée dans mes couches me frappa. Je n'avais aucun moyen d'atteindre mes couches-culottes dans un pyjama en une pièce. Et même si je pouvais, ça ne résoudrait pas mes problèmes... Je ne pouvais pas me changer moi-même? Je ne pouvais pas non plus quitter le berceau et nous mettre toutes dans les ennuis. Comme dans une cage, je commençais à me sentir prise au piège. Je pense que ce fut la première fois que je réalisais combien j'aimais la sensation d'être cloîtrée. f o r c é e d'être un bébé, d'avoir la possibilité d'être quelqu'un d'autre. C'était libérateur. Je me plongeais dans ce jeu de rôle. Je saisis le biberon et commençais à le boire. Ma main descendit vers ma couche-culotte et instinctivement j'essayais de toucher mes parties intimes. Je riais de ma bêtise. Les couches étaient si épaisses que je n'aurais pas pu me masturber même si ma vie en dépendait. Ça me rendait si chaude... C'était comme de porter une ceinture de chasteté, mais faite de couches.

Je n'arrêtais pas de penser à Chris et je me demandais s'il aimait ces jeux de rôle autant que moi. Une nouvelle fois, je riais de ma naïveté. Nous n'étions pas supposés aimer ça! Et puis ma vessie prit le contrôle sur mon corps, je sus que j'allais devoir faire pipi. J'avais appris de mes expériences précédentes, même si j'étais encore incapable de me l'avouer, que j'adorais me faire pipi dessus. J'essayais d'ignorer la pression sur ma vessie, mais c'était futile. D'autant qu'avec tout ce que j'avais bu dans la journée, la pression ne ferait que s'accroître et je ne pourrais pas dormir si je ne me soulageais pas. Ce qui me préoccupait était qu'il était possible qu'on ne reçoive pas de changement de couche dans la nuit, j'étais inquiète de devoir dormir dans une couche mouillée.

La décision de me mouiller fut prise pour moi. Je venais de finir le biberon et me laissais emporter par l'expérience. Je fermais les yeux et fantasmais sur Chris. Je rêvais qu'il me mette dans un berceau et me f o r c e  à rester son bébé en couche-culotte. La pression était si forte que mes muscles n'allaient plus pouvoir me permettre de me retenir. Je plaçais mes mains entre mes jambes, par-dessus mon pyjama et mes couches, je commençais à me faire pipi dessus. Peut-être était-ce le fait d'être dans un berceau ou de rêver à Chris, mais ce fût une sensation fantastique. Contrairement à ce qui s'était produit plus tôt dans la journée quand j'étais honteuse de ma vessie, cette fois, je profitais de l'expérience sans arrières-pensées. Mes couches devenaient de plus en plus humides alors que je continuais à faire pipi. Je craignais de mouiller mon berceau et mon pyjama, mais les épais niveaux de couches firent leur travail. Il n'y avait pas de fuite, j'en fus soulagée.

C'était étonnant comme cette épreuve me ramena des années en arrière quand j'étais petite et mouillais mon lit. Je devais être âgée d'un peu près treize ans et j'avais fait pipi durant mon sommeil. J'étais choquée de ce qui venait de se produire et je me réveillais brutalement. Ma Maman entra dans la chambre et me gronda pour ce que j'avais fait. Je me souviens qu'elle me menaça de me mettre en couche-culotte si je ne me réveillais pas assez tôt pour aller aux toilettes. Elle ne me mit jamais en couche, mais c'était très humiliant de se faire parler ainsi par sa maman à treize ans. C'était sans doute la première fois que j'imaginais pouvoir être f o r c é e de porter une couche.

Je décidais de me retourner sur l'estomac, car je n'arrivais pas à bien dormir sur le dos. Je tournais en faisant très attention de ne pas déclencher l'alarme à cause de la chaîne fixée de ma cheville à l'alarme. J'y réussis sans problème. Il n'y avait pas d'oreillers dans le berceau et ma tête devait reposer directement sur le drap en plastique. Pas vraiment confortable, mais c'était un moyen efficace pour nous rappeler que nous étions enfermées pour la nuit. Le plastique avait une odeur et un toucher distinct qui me donnait l'impression d'être vraiment un petit bébé. Je glissais un peu sur le drap tout lisse. J'éprouvais une agréable sensation à me tortiller dans ma couche-culotte. Les mouvements de mon corps faisaient bouger ma couche humide entre les jambes, c'était une sensation vraiment réjouissante. Je faisais attention à être discrète quand je bougeais pour que les filles dans les autres berceaux ne le remarquent pas.

Je décidais de faire pipi à nouveau pour passer une bonne nuit. Tout ce que j'eus à faire fut de pousser un petit peu et je commençais à faire pipi dans ma couche. Je continuais à m'agiter sur l'estomac alors que je me relâchais. Je ne pouvais pas m'arrêter, le mouvement d'avant-arrière traversait les couches épaisses et me rendait toute chose. Ma couche était pleine de pipi si chaud et si humide... c'était érotique et je sentais que j'allais être prise de spasmes. Je ne m'inquiétais plus du tout du reste du monde, mon corps seulement me dirigeait. Je continuais à frotter l'entrejambe contre ma couche-culotte et je jouissais dans un fantastique orgasme.

J'eus du mal à reprendre contenance, Amy demanda si tout allait bien et cela me fit revenir sur terre. Je lui dis qu'il n'y avait pas de problème... que j'essayais juste de me mettre à l'aise. Elle dit : « J'aimerais être à l'aise comme ça. » Je réalisais que je devais m'être donnée en spectacle devant Amy et peut-être d'autres. C'était vraiment gênant, mais je tombais de sommeil.

Je ne sais pas combien de temps je dormis, mais je fus réveillée par les grognements d'Heather. Je pris un certain pour réaliser où j'étais. Je fus choqué de voir que j'étais dans un berceau, puis les circonstances de la nuit me revinrent en mémoire. Heather était dans un des berceaux voisins du mien. Je jetais un œil entre les barreaux et vis qu'elle était à genoux sur ses mains. Je n'étais pas sûr si elle pleurait ou gémissait. Je lui demandais si elle allait bien, elle me répondit : « J'ai vraiment très mal. »

« J'ai une envie urgente de faire caca. » La pauvre fille je me dis. Je me rappelais le biberon bleu et que Chris m'avait averti de ne pas le boire. J'étais sûre qu'on l'avait donné à Heather à cause de sa tentative ratée d'évasion. Un laxatif avait dû être mélangé au lait.

Confinée dans mon berceau, il n'y avait rien que je puisse faire pour l'aider. Mais j'essayais quand même de trouver les mots pour la réconforter. Heather continuait ses grognements. Je lui demandais si elle ne se sentirait pas mieux si elle était capable de faire caca. Elle répondit « oui, je me sentirais mieux, mais je ne peux pas faire caca dans une couche. » Heather était en train de pleurer soit de douleur soit de honte. Je ne savais pas quoi dire, mais je finis par lui conseiller de salir sa couche-culotte, que c'était ok.

« Je peux pas, je peux pas, » elle insistait. Heather était maintenant en train de se tenir au haut du berceau, assise à genoux. Je me rendais compte qu'elle essayait de se plier en quatre pour faire diminuer la douleur. Je lui demandais si elle voulait sortir du berceau et courir aux toilettes. Elle répondit « si je sors, nous aurons toutes des problèmes, je ne veux pas que ça arrive. »

« Et puis, j'ai déjà des ennuis avec la sororité et je veux pas risquer un autre conflit. » Ses grognements se faisaient plus forts. Je lui répétais que tout serait ok et que tout le monde comprendrait si elle faisait caca dans sa couche. Je me rendais compte que le médicament faisait de plus en plus effet et qu'elle ne parviendrait pas à se retenir longtemps.

Toutes les filles étaient maintenant réveillées et se montraient compatissantes. On lui dit qu'on traversait l'épreuve ensemble et qu'on la soutiendrait qu'elle choisisse de sortir du berceau ou de souiller sa couche-culotte. Heather insistait qu'elle ne voulait pas nous entraîner dans ses soucis avec elle et elle décida de rester. Amy était sans doute l'amie la plus proche d'Heather et elle lui parla tout le long de sa terrible épreuve.

« Heather, essaie de te relaxer le plus possible... reste à genoux et pousse. » Heather fit exactement ce que lui conseilla Amy. C'était vraiment un spectacle effroyable de voir une femme adulte se courber en deux pour faire caca dans sa couche-culotte. Je me sentais vraiment navrée pour elle. Heather continuait de pousser et de pleurer en même temps. Ça prit une minute, mais Heather fut finalement capable de faire caca... Il était facile à voir qu'elle se sentait très soulagée, et aussi très embarrassée.

Nous restions toutes silencieuses, ce fut l'odeur dans la chambre qui parlait pour nous. Ce fut à ce moment que l'on devint toutes horrifiées par ce dont nous avions été témoins. Heather voulut s'excuser pour ses actions. On tenta de la rassurer en lui rappelant qu'elle n'avait pas eu le choix. Les sœurs de la sororité devaient nous écouter à travers le moniteur pour bébé, car elles choisirent ce moment pour venir nous contrôler.

« Pourquoi de petites filles comme vous ne dorment-elles pas? » Demanda Nicole.

« Oh, est-ce que bébé Heather a eu un petit problème? »

« Tu as fait caca dans tes couches, Heather? » Nicole avait son ton sarcastique habituel. Elle nous demanda lesquels parmi nous avaient besoin de se faire changer les couches. Aucune de nous ne s'empressa de répondre.

« Eh bien, si vous n'avez pas besoin d'être changées, je vais éteindre la lumière et vous laisser toutes seules. » Amy se manifesta « je dois me faire changer. » Et alors nous admîmes toutes que nous étions mouillées. Nicole nous taquina, « Il me semble que cette année les bizutes sont vraiment de petits bébés. »

Nos Mamans durent changer nos couches. Quand Janet se pencha sur mon berceau, elle me dit qu'elle allait mettre à exécution la menace qu'elle avait émise plus tôt.

« Quelle menace? » Elle me le rappela « je t'ai dit dans le bar que tu regretterais ton comportement. »

« Je refuse de changer ta couche! »

« S'il te plaît! » Je suppliais. Ma couche-culotte était extrêmement humide et pesait si lourd que c'était devenu désagréable d'avoir cette masse enroulée autour de mes parties intimes. Je l'implorais de me changer, mais elle restait ferme affirmant que je devais montrer plus de respect aux sœurs de la sororité.

J'assistais au changement de couche des autres bizutes. J'étais jalouse. Ce n'était vraiment plus drôle ni agréable d'être dans la crèche. Je voulais partir. Et le pire était que j'avais encore envie de faire pipi. J'étais assise dans le berceau et m'apitoyais sur mon sort. Nicole et les autres sœurs nous souhaitèrent une bonne nuit et quittèrent la crèche. Je reposais ma tête contre le drap en plastique et essayais de retrouver le sommeil. Mais avant de pouvoir dormir, j'avais besoin de me mouiller pour relâcher la pression. Je succombais à mes besoins et me relâchais dans ma couche-culotte. J'étais vraiment contrariée d'y être f o r c é e, mais il n'y a rien d'autre que je puisse faire si ce n'est de remplir mes couches avec mon propre pipi. Je souffrais comme une damnée et voulais sortir à tout prix de mes couches. J'essayais de m'en débarrasser à travers le pyjama, mais en vain. Les couches-culottes me serraient comme une seconde peau. Ce fut à ce moment que je trouvais un équilibre douleur/plaisir... le matin serait long à venir, pensais-je. Mais je parvins quand même à trouver le sommeil.

Le matin suivant les sœurs et quelques membres de la fraternité vinrent nous saluer dans la crèche. Chris était parmi eux. J'étais si gênée que Chris me voit dans un berceau... Il se pencha sur moi et dit : « Comment va ma petite Kimberly ce matin? »

« Tu as bien dormi? »

« Ok, » répondis-je, « tu m'as manqué. » Chris abaissa la grille amovible et déverrouilla la chaîne sur ma cheville. Il me porta hors du berceau.

« Tu m'as manquée aussi Kim... Je pensais à ce que tu devais traverser cette nuit. » Quand il me souleva, nous remarquâmes tous les deux à quel point mon pyjama était humide. Il semblait que mes couches n'aient pas été capables de retenir tout mon pipi. J'étais gênée.

« Ne t'inquiète pas Kim, quand nous serons ensemble tu pourras être certaine que tu auras toujours suffisamment de couches sur toi. » J'essayais de dire que je n'aimerais pas qu'il me mette des couches, mais il savait mieux que moi ce que j'aimais.

Épilogue.

Plusieurs années ont passé depuis mon initiation en sororité et j'ai quitté l'université depuis trois ans. Toutes les bizutes ont fini par être acceptées dans la sororité et je vois encore Amy et Heather plusieurs fois par an. Nous parlons souvent de notre initiation, Amy et Heather savent que j'aime faire du jeu de rôle en couches-culottes et elles me taquinent à ce propos. D'ailleurs elles vérifient toujours si je suis en couche-culotte. Amy m'a admis porter des couches de temps en temps. Et parfois je m'interroge sur le nombre d'adultes qui portent des couches, pas parce qu'ils en ont besoin, mais pour s'amuser...

Récemment, je me suis mariée avec Chris et notre couple ne pourrait être plus heureux. J'ai joué tous les rôles qu'il était possible d'imaginer, et la plupart impliquaient tous... devinez quoi... des couches-culottes. Chris adore me langer et j'aime qu'il s'occupe de moi ainsi. Il me passe souvent une couche-culotte avant un long trajet en voiture, ou encore avant d'aller voir un film ou pour assister à un match de foot. On est tous deux excités quand l'un de nous -- ou nous deux ensembles - portons une couche sous nos habits pour rencontrer des amis.

Parfois on joue à voir qui de nous deux garde sa couche propre le plus longtemps. Ça peut sembler idiot, mais c'est très drôle. Chaque fois que je porte une couche, il m'interdit d'aller aux toilettes sans sa permission. S'il me laisse seule quand je suis en couche-culotte, vous pouvez être sûr qu'elles sont bien verrouillées d'une manière ou d'une autre. Il aime m'avoir sous son contrôle et j'aime ça aussi. (Même si je fais de mon mieux pour résister!) On a aussi utilisé les couches dans divers scénarios de bondage et de discipline. Chris sait que si je garde ma couche trop longtemps, ou si je la salis, cela devient une vraie punition. Il s'en sert à son avantage quand il pense que je me suis montrée garce.

Parfois on inverse les rôles et je suis sa « Maman. » C'est drôle aussi, surtout quand je l'habille en petite fille ou en bébé. Nous avons commandé tout ce qui se fait sur internet en relation avec les couches-culottes. J'ai plus de vêtements en plastique et latex que nous ne pouvez l'imaginer, et j'adore voir comme Chris devient excité quand je porte ces tenues. Les week-ends, Chris choisit les vêtements que je vais porter. J'aime protester juste pour que Chris monte sur ses grands cheveux. Il me prend alors sur ses genoux et m'administre de sévères fessées, ne s'arrêtant que pour me masser le derrière tout rouge. Les jeux de rôle en couche-culotte ont vraiment épicé notre vie sexuelle. La prochaine fois, je partagerai avec vous certaines de nos aventures de couches-culottes.

Fin.

Victorlepieux

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